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 MICHEL POLNAREFF

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liliane
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MessageSujet: Re: MICHEL POLNAREFF   MICHEL POLNAREFF - Page 2 EmptyDim 18 Nov - 6:17

MICHEL POLNAREFF - Page 2 Captu208

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MessageSujet: Re: MICHEL POLNAREFF   MICHEL POLNAREFF - Page 2 EmptyDim 13 Nov - 7:40

« JE VIS DANS MON PIANO» Michel Polnareff

MICHEL POLNAREFF - Page 2 Image_36


PROPOS RECUEILLIS PAR ÉRIC MANDEL ET LUDOVIC PERRIN

LE JDD


Michel Polnareff, le créateur iconique d’« On ira tous au paradis », revisite son répertoire en version PIANO-VOIXCULTE Il revient sur la genèse de ses grands classiques, ses projets et les caprices de son inspiration

La rencontre avait pourtant mal commencé. « Tiens, il y a un deuxième monsieur du JDD qui arrive ? C’est de pire en pire… Et il pose des questions aussi ? » Dans la suite où Michel Polnareff nous reçoit, l’ambiance est tout d’abord glaciale. La raison ? L’article que le journal lui a consacré en décembre 2016. Invoquant de sérieux problèmes de santé, le chanteur venait d’annuler la fin de sa tournée française, à Paris et à Nantes. Le producteur Gilbert Coullier avait alors dépêché un huissier au palace où séjournait l’artiste, comme l’avait relaté le JDD.

Six ans après, alors qu’il a perdu son procès en diffamation, la rancœur du chanteur reste intacte contre un article à ses yeux partial… « Vous avez écrit des saloperies, il n’y a pas d’autres mots, qui me font passer pour un mec qui fait semblant d’être malade alors que j’étais à l’hôpital en train de crever ! Je ne vous le cache pas, vous arrivez avec un drapeau que je n’aime pas. »

L’interview aurait pu s’arrêter sur cet échange d’amabilités, mais on voulait en savoir un peu plus sur son nouvel album, Polnareff chante Polnareff, qui sort quatre ans après son dernier opus, intitulé fort à propos Enfin! et qui marquait son retour après vingt-huit ans sans nouvelles chansons. Il a cette fois choisi de revisiter son œuvre à l’os avec une relecture de 12 classiques maison en version piano-voix : La Poupée qui fait non, Le Bal des Laze, Sous quelle étoile suis-je né ?…

À travers cet exercice de style, c’est un trésor mélodique qui ressurgit sous une nouvelle clarté harmonique. Privilégiant la période 1966-1972, la sélection se concentre sur cette époque bénie où le musicien enchaînait les numéros un. Pour l’occasion, le sphinx de la chanson française a donc quitté son désert de Palm Springs (Californie) pour reprendre pied en France. À 78 ans et malgré le décalage horaire, l’homme a l’esprit toujours aussi affûté et un style unique : deux montres connectées à son poignet, chemise en jean ouverte sur un pendentif ovale et chevelure platine raccord avec son bronzage, sans oublier une bouteille de champagne à portée de main, même si l’ambiance n’était pas propice à trinquer…

Cet album de reprises, c’est votre idée ?

C’est mon nouveau manager, Serge Khalifa, qui m’a suggéré de revisiter mes classiques en version piano-voix. Au début, je me disais : « Mais attends, pourquoi je vais faire ça ? Si je reprends mes trucs iconiques, tout le monde va croire que je n’ai plus d’inspiration. » Et puis, je me suis laissé convaincre. Les fans avaient envie que je le fasse depuis très longtemps, ils voulaient entendre un piano-voix. Et j’avoue être fier du résultat.

Votre voix résiste à l’usure du temps. Comment la préservez-vous ?


Bah, elle n’est pas en danger, donc je ne cherche pas à la préserver. Je ne fais jamais de vocalises pour m’entraîner ou l’entretenir. Je suis très content qu’elle soit toujours là, car j’avais moi-même des doutes.

« Je suis à poil avec l’auditeur à côté de moi »

Vraiment ?

Oui, c’est vrai. Un artiste qui ne doute pas n’est pas un artiste.

Donc vous êtes rassuré…

D’être un artiste ? Oui.

Vous redoutiez que vos fans vous pensent en panne d’inspiration ?

Non, non, ils me suivront quoi que je fasse. Je parle des gens comme vous qui peuvent se le dire… Vous avez pensé ça, au fait ?

Nous ne sommes pas dans votre tête… Mais dans Longtime, une chanson de votre précédent disque, vous disiez : « Chaque jour, j’écris n’importe quoi, des “je n’aime que toi” entendus des millions de fois. » Vous avez parfois peur de vous répéter ?

Vous confondez deux choses : les textes d’une chanson et la vraie vie. C’est exactement comme quand vous allez au cinéma : vous voyez un mec qui meurt et vous le retrouvez dans un restaurant deux heures plus tard. Ce n’est pas la même chose.

Donc vous êtes un peu acteur quand vous chantez ?

Ce n’est pas ce que je suis en train de dire. Je vous donne un exemple comparatif. Mais, oui, je compose régulièrement. Ce ne sont pas encore des chansons, puisqu’il n’y a pas de paroles. J’écris d’abord la musique, toujours. Elton John, c’est le contraire, je ne sais pas comment il fait ! En tout cas, il le fait bien. J’ai aussi composé un opéra – pas un opéra rock, un opéra classique. Donc, oui, j’ai de la musique en stock.

Et donc vous n’aviez pas envie de revenir avec de nouvelles chansons ?


On ne peut pas tout faire en même temps. Pour l’instant, on reste sur Polnareff chante Polnareff. Je n’ai aucun agenda.

On connaît votre sens du perfectionnisme. Il est votre pire ennemi ?

C’est un atout, mais je ne l’ai pas du tout appliqué à cet album : on n’affine pas, on laisse les choses telles qu’elles sont ; s’il y a des petits défauts, c’est un plus. J’avais envie de quelque chose d’organique. C’est un projet qui est vrai. Non pas que mes autres albums soient faux, mais forcément il y a un côté aseptisé sur des trucs que l’on veut parfaits. Sans ces petites imperfections, ce disque n’aurait pas cette vérité. C’est de loin l’album que j’ai enregistré le plus rapidement dans ma carrière : trois mois. Ce n’est ni un plaisir ni un déplaisir, ça s’est juste passé comme ça.

Vous l’avez enregistré chez vous ?


Oui, c’est le bonheur d’avoir un studio à domicile. Tout s’est passé très simplement, le jour, la nuit, sans aucune contrainte. Je peux enregistrer à n’importe quel moment, quand j’ai envie de le faire et pas au moment où il faut le faire.

Sur la pochette du disque, on ne vous voit pas…

C’est la bonne nouvelle ! Polnareff chante Polnareff est un album intimiste, mais je voulais que la pochette dise autre chose. Je n’aime pas le ton sur ton. On avait pensé à une photo avec mes lunettes posées sur un piano blanc, mais ce n’était pas joyeux.

On est dans un autre univers, entre Goldorak et Capitaine Flam…

J’adore les mangas. Je suis même dans deux mangas : Jean-Pierre Polnareff dans je ne sais plus quelle BD [JoJo’s Bizarre Adventure d’Araki et Doflamingo dans One Piece]. C’est moi qui ai inspiré ces personnages de fiction car je suis très populaire au Japon.

Et vous avez des super-pouvoirs dans ces mangas ?

Tous, j’espère, mais je ne m’en souviens pas…

Et dans la vraie vie ?

Écoutez, vous êtes toujours là, donc…

De toutes les reprises, quelle est celle dont vous êtes le plus fier ?

Vous employez le mot « reprise », mais non : ce sont des versions originales. Des reprises, pour moi, c’est une dame qui fait de la couture. Pour répondre à votre question, Holidays est ma favorite sur l’album. Je la trouve meilleure que l’originale. Bon, je ne vais pas renier cette chanson : si je ne l’avais pas aimée à l’époque, je ne l’aurais jamais sortie. Mais je trouve qu’elle a pris une dimension magique, je n’en revenais pas moi-même. Je suis vraiment attaché à l’atmosphère intime de cet album.

Il n’y a pas d’intimidations de lumières, d’effets spéciaux. Je suis à poil avec l’auditeur à côté de moi, qui est à poil s’il le souhaite, pour partager un moment musical.

Et vous avez prévu de présenter l’album sur scène ?

C’est dans les tuyaux, j’en ai très envie, mais comme je vous l’ai dit, je n’ai aucun agenda.

L’album débute donc par Le Bal des Laze…

Sur le disque, oui, mais ça ne veut pas dire que je l’ai enregistrée en premier.

Vous vous souvenez du jour où Pierre Delanoë vous a présenté le texte de cette chanson ?

Oui, l’histoire est marrante. J’avais composé la musique et je l’ai chantée en yaourt à Pierre Delanoë. Chacune de mes phrases se terminait par « laze ». On a gardé cette sonorité qui ne voulait rien dire, car je suis sensible à la sonorité des mots plus qu’à leur sens. Bref, on a par la suite appris qu’il existait vraiment une famille qui s’appelle ainsi, le vicomte ou le comte de Laze, je ne sais plus. Ils m’avaient même envoyé une invitation pour visiter leur château, mais je n’y suis pas allé.

Âme câline est également une chanson que vous auriez pu cosigner…


Oui, j’étais allongé sur mon lit, à Marrakech, près de La Mamounia, et il y avait un oiseau qui chantait. C’est l’oiseau qui m’a donné « tintinlalip ». Mais il était paresseux : il ne m’a laissé que le début. J’ai dû composer la suite.

Vous reprenez également Goodbye Marylou, écrite en 1989 lors de votre confinement de plus de 800 jours au Royal Monceau. Le personnage de Marylou a vraiment existé ?

J’étais dans un confinement volontaire. Je ne sais pas pourquoi on appelle ça confinement – c’est un mot à la mode, je pense. Quand on est con… finement. Je suis fan du chanteur Ricky Nelson, depuis tout petit, et sa fille se trouvait à l’époque au bar du Royal Monceau. Et comme il avait chanté une chanson qui s’appelle Hello Mary Lou, je m’étais dit : « Tiens, je vais écrire Goodbye Marylou. » Elle le sait, elle était avec moi.

« “Lettre à France ”, c’est la “Marseillaise” des expatriés »

Vous avez appris la musique classique grâce à votre père, qui était un immigré d’Odessa et pianiste auteur pour Piaf. Puis vous êtes entré en rébellion avec la découverte du rock… Quel artiste fut le détonateur ?

Elvis, mais je n’avais pas le droit de l’écouter à la maison. Je me souviens très bien de la pochette de Don’t Be Cruel que j’avais cachée dans mon cahier. Je la regardais et je m’imaginais en train de l’écouter.

Et quand votre père découvre votre passion pour le rock ?

Il prend sa ceinture et il me frappe avec. Mais j’ai pardonné au bout de vingt ans. Je sais être rapide quand il le faut.

On retrouve également Lettre à France, écrite par Jean-Loup Dabadie… Quelle avait été votre réaction quand vous avez lu son texte ?

Nous étions à New York. Son texte était un bon départ, on l’a ensuite retravaillé sur une nappe de restaurant. Pour moi, Lettre à France, c’est la Marseillaise des expatriés. Des expatriés, hein ! Pas des exilés. Je me sens toujours comme un Français qui vit aux États-Unis.

Et vous n’envisagez pas de revenir vivre définitivement en France ?

Peut-être venir plus souvent, oui. J’en ai envie. Je suis devenu plus serein à propos du truc… J’aime toujours autant Paris, surtout la nuit. Mais je suis bien dans mon désert de Palm Springs.

Et vous y faites quoi ?

Je vis dans mon piano et je mange les touches.

Ah bon ? Dans La Leçon de piano, l’héroïne enlève les touches du piano pour envoyer un message d’amour…

C’est beau. Eh bien, c’est moi qui ai inventé le truc !

Et quand vous ne jouez pas du Polnareff, vous jouez quoi ?

Je joue au con. Et je fais ça très bien.

Polnareff chante Polnareff **

(Parlophone). Sortie le 18 novembre.

PROPOS RECUEILLIS PAR ÉRIC MANDEL ET LUDOVIC PERRIN
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MessageSujet: Re: MICHEL POLNAREFF   MICHEL POLNAREFF - Page 2 EmptyMar 6 Déc - 7:29

Michel Polnareff, La folie des grandeurs
Olivier Nuc


Le Figaro
Paru le lundi 5 décembre 2022

MICHEL POLNAREFF - Page 2 Capt1293

À la faveur de son nouveau retour, La star est à l’honneur d’un programme spécial célébrant ses chansons et sa personnalité hors norme.

Michel Polnareff fait à ­nouveau l’événement en ­cette fin d’année 2022. Le pianiste et chanteur a ­sacrifié à l’exercice de l’album solo au piano, et l’on peut dire que c’est une bonne nouvelle pour ses chansons, qu’on a trop entendues malmenées par lui-même et des musiciens trop démonstratifs. La sortie du disque lui a permis de revenir en France après sept longues années d’absence. La Deux lui a déployé le tapis rouge avec ce ­programme paresseusement intitulé « La soirée événement ». Avec une ­triple mission : narrer le parcours hors norme de ce grand original, l’entendre chanter et aussi découvrir ses tubes ­repris par d’autres interprètes.

Grandiloquence et mégalomanie sont bien sûr au cœur du dispositif : Michel Polnareff en a fait les armes de sa carrière, marquée par les coups d’éclat. Mais ceux-là ne seraient rien sans les chansons elles-mêmes. On le mesure encore mieux en constatant la difficulté de les entendre interprétées par d’autres. Marc Lavoine est simplement à côté de la plaque dans Radio, ­Patrick Bruel assez terne sur Qui a tué grand-maman, ­Nolwenn Leroy en fait trop surHolidays. Seule la grande ­Catherine Ringer s’en sort avec les honneurs et sa version de Love Me, Please Love Me, habilement adaptée en Love Him, Please Love Him, dans laquelle elle joue avec le compo­siteur du titre, qui l’écoute, sidéré par son audace. Il est étrange de voir ­Michel Polnareff en spec­tateur des courageux qui se sont ­risqués à ­chanter ses ­titres devant lui. Mais l’homme, torse nu sous sa veste dorée, lunettes vissées sur le nez, s’en acquitte de bonne grâce.

Tessiture surnaturelle  

Bien sûr, Polnareff, seul au piano, en chante quelques-unes lui-même. Seul ? Pas tout à fait. Grâce à la technologie, on peut l’entendre en duo avec une version plus jeune de sa personne, sur l’emblématique Lettre à France et Goodbye ­Marylou. Le tour d’horizon ne se limite pas aux standards des décennies 1960, 1970 et 1980, mais aussi à des titres plus récents. Ainsi Chimène Badi reprend-elle Grandis pas, un morceau tiré du dernier album en date de Michel ­Polnareff, ­Enfin !, sorti en 2018. Car ce sont les femmes qui sont les plus justes lorsqu’elles chantent ­Polnareff. Peut-être à cause de la ­hauteur surna­turelle de sa tessiture, plus accessible aux chanteuses. Il y a des années, Claire ­Diterzi l’avait prouvé dans le cadre d’une prestation aux Franco­folies de La Rochelle. Toutes le confirment dans cette soirée, où les hommes sont à la peine. N’est-ce pas Amir, dont la version de La Poupée qui fait non ­manque cruellement de pertinence ? Bilal ­Hassani et sa féminité ­exacerbée constitue un magnifique contre-exemple, avec une belle lecture de Dans la rue.

Et s’il fallait être aussi excentrique que Michel pour être à la hauteur de Polnareff ? Ce show en est la preuve. La voix off de Michel Denisot, qui inscrit le répertoire de Polnareff dans le contexte de sa biographie et de l’histoire de la ­société française depuis 1966, manque sérieusement de tonus. Le côté Droopy de l’animateur s’accommode mal de l’exercice, dans lequel Antoine de ­Caunes aurait été brillant. Les ren­contres en coulisses entre Polnareff et ses différents admirateurs sont assez ­touchantes, notamment avec la jeune Pomme, qui étrenne pour l’occasion une coupe très courte. Sincère dans son admiration et presque candide dans son approche, la jeune femme apporte toute sa grâce à On ira tous au paradis, ­quelques moments plus tard. Parce que Michel Polnareff peut aussi se déguster sans décorum ni second ­degré.

France 2
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MessageSujet: Re: MICHEL POLNAREFF   MICHEL POLNAREFF - Page 2 EmptyLun 15 Mai - 17:58

MICHEL POLNAREFF : TOUT SAVOIR SUR SA NOUVELLE TOURNÉE HEXAGONALE


Par CNEWS

Publié le 15/05/2023

Après une longue attente, l’inimitable Michel Polnareff s’apprête à remonter sur scène pour une série de concerts. Voici tout ce qu’il faut savoir sur le tour de France de «L’Amiral», qui fêtera cet été ses 79 ans.

UNE VINGTAINE DE DATES

Le coup d’envoi de sa tournée sera donné le 24 mai sur la french riviera, à Nice, au Palais Nikaïa. Ensuite, Michel Polnareff fera étape dans une vingtaine de grandes villes : Nantes, Lyon, Toulouse, Rouen, Ajaccio… Il sera également à Paris le 2 et le 3 juillet, le jour de son anniversaire. La dernière date de sa tournée aura lieu lors du festival de Nîmes, le 8 juillet.

UNE SCÈNE CENTRALE

Pour son grand retour, près de sept ans après sa dernière tournée, qui avait été interrompue par des problèmes de santé, Michel Polnareff a opté pour un nouveau dispositif scénique. Pour la première fois, l'artiste aux lunettes blanches se produira sur une scène centrale, c’est-à-dire avec une vue à 360 degrés sur son public.

UN BEST OF EN VERSION PIANO-VOIX


A l’occasion de cette tournée événement, Michel Polnareff reprendra ses plus grands tubes : «On ira tous au paradis» (1972), «La poupée qui fait non» (1966), «Lettre à France» (1977)… Mais cette fois, en version piano-voix, à l’image de son nouvel album de reprises, «Polnareff chante Polnareff» (11e album studio), sorti en novembre dernier.

UNE AFFICHE MÉMORABLE

Qui dit nouvelle tournée, dit nouvelle affiche. Enfin presque. Pour cette tournée, le mélodiste à la crinière blonde a réutilisé l'affiche de l'Olympia 1972, où il dévoilait son postérieur et qui à l’époque avait fait scandale. Pour rappel, elle lui avait valu une condamnation pour attentat à la pudeur, entraînant son exil aux Etats-Unis.



CE N’EST PAS UNE TOURNÉE D’ADIEU

Que les fans se rassurent, Michel Polnareff ne compte pas raccrocher son micro. D’autres albums devraient bientôt voir le jour. «Il y a en a qui vont dire que Polnareff n'a plus d'inspiration et ressort ses vieilles sacoches... C'est complètement faux, a-t-il assuré auprès de l’AFP. Je n'ai jamais composé autant de trucs nouveaux !» Et on a hâte de les découvrir.

https://www.cnews.fr/culture/2023-05-15/michel-polnareff-tout-savoir-sur-sa-nouvelle-tournee-hexagonale-1354744
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MessageSujet: Re: MICHEL POLNAREFF   MICHEL POLNAREFF - Page 2 EmptyDim 29 Oct - 8:15



31 décembre 1966 , Michel Polnareff interprète  Doctor Gradus ad Parnassum de Debussy
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