MICKY GREEN UN ALBUM EN FEVRIER

MICKY GREEN



L' australienne Micky Green sera de retour dans les bacs le 15 février 2010
avec un deuxième album intitulé Honky Tonk (Polydor)
avec aux manettes un certain Renaud Letang (Feist, Manu Chao, Peaches).
Le teaser du nouvel album :
cet extrait laisse présager de très belles choses pour l’album à venir
avec la chaude voix de  Micky Green  sur un air soul moderne.
Le clip est tourné à Paris, ville d’adoption de l’artiste originaire de Sydney.

Micky Green est une artiste du label polydor.
Successeur de l'opus "White T-Shirt", ce deuxième album,
est annoncé comme un disque aux mélodies touchantes et aux ambiances groovy,
utilisant notamment des claviers vintage et une section de cuivres.  

L’indolence du groove

Micky (ses parents l’appellent Michaela, de vieilles origines Hollandaises dit l’histoire familiale)
est partie de chez elle à 18 ans, jouer les mannequins.
Un rêve gamine ? Non : "un métier pratique pour découvrir le monde" dit-elle.
Surtout quand on a que ça et la musique en tête".
Elle continue de l’exercer, de temps à autre,
parce qu’on ne vit pas de ses chansons du jour au lendemain.

lors d'un voyage en France, elle a été solicité pour faire carrière dans la musique
et apparement elle aurait dit ce jour là où tout son déstin a basculé,
elle nous fait découvrir un univers onirique aux arrangements superbes, doux et original,
elle a en plus la chance d'avoir une voix féerique, le tout accompagné d'un bon "groove".

La plupart des titres de White T-shirt (2007) , Micky les a écrits dans l’avion,
dans ses chambres d’hôtel, dans les salles d’attente des aéroports.
Dans ces moments où l’esprit vagabonde, comme elle le fait depuis 4 ans maintenant.
Elle note tout dans un carnet qui ne la quitte jamais.
Certains datent de l'adolescence. Micky a toujours écrit.

Au lycée, elle jouait de la batterie dans un groupe.
Le plus masculin des instruments, parce qu’être une fille n’oblige à rien.
Et puis elle avait déjà appris à jouer du piano, toute seule…
Le chant, c’était aussi une sorte de lien avec son père.
Il lui avait transmis le virus de la musique, côté faiseur. Il en jouait, avec ses copains.
Et puis un jour, ses parents ont divorcé. Micky est restée avec sa mère,
dans une banlieue de Sydney normale, banale, agréable.
A la maison, on écoutait Fletwood Mac,Heart, ou du glam rock.
Après les cours, elle travaillait, pour l’argent de poche, dans le magasin de disque du centre commercial.

Pour ses maquettes, composées sur un micro de l’ordinateur,
Micky a tapoté sur des tables, ses jambes, avec un crayon, une boîte.
Des micro rythmes parfaits pour accompagner les détails qui parsèment ses textes.
La vie lui apparaît toujours sous cet angle : une façon de tenir une cigarette,
une couleur de t-shirt (white donc…), un faux pas, un doute…

Entre temps, elle s'installe dans le quartier du Marais à Paris, où elle vit toujours.
Une tournée se prépare en voici la première dâte :
6 avr. 2010   20:00
La Cigale Paris

http://www.myspace.com/mickygreenmusic