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 LE MARKETING VIRAL

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Nine
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MessageSujet: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMer 9 Juil - 20:27

Le marketing viral reprend la bonne vieille technique du "bouche à oreille" qui existe depuis la nuit des temps ...

Dans les techniques de communication elle est integrée, codée et quantifiée.

Le marketing viral consiste à mettre en interaction les internautes et à les faire contribuer dans la propagation de la pulsion de vente à travers l'information.

Marketing viral (dans la musique)

Le bouche à oreille est la forme de pub la plus ancienne qui soit. C’est aussi un concept simple redécouvert ces temps-ci par une industrie de la musique en panne d’inspiration. Dans le langage actuel, ça s’appelle le "marketing viral".

Les spots de pub dans les chaînes musicales et les affiches, ça finit par lasser. C’est pourtant avec ces méthodes que l’industrie de la musique essaie de vendre ses disques. Un peu limite, à une époque où les téléchargements sont gratuits et où les bénéfices du business de la musique sont en chute libre. Mais les choses bougent, et dorénavant, les messages de pub devraient nous parvenir de manière un peu plus subtile.

Annonce SMS pour concert gratuit

Par exemple avec une bonne campagne marketing par sms. Cet hiver une société proposait un concert gratuit de Placebo, à certains de ses clients, avertis par texto. A part ces SMS, l’opération était rigoureusement secrète. Mais par le bouche à oreille, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Le markting viral, c’est ça. Pour l’opérateur de téléphonie mobile, la joie des fans et l’image du groupe sont un excellent coup de pub.

Le bouche à oreille

Une agence de pub berlinoise, a, elle aussi, essayé d’innover en matière de marketing. Elle envoie régulièrement des infos sur les nouveaux groupes à un panel de dix mille jeunes. Ceux-ci se sentent terriblement dans le coup et s’empressent de faire tourner le moulin du bouche à oreille. Markus Kühn : "A la base, je trouve que le bouche à oreille est le meilleur outil de marketing qui soit. L’élément décisif, c’est que la personne qui reçoit le message publicitaire, le reçoit généralement de la part d’un ami, donc de quelqu’un en qui elle a confiance. Il y a une communication directe qui se démarque très fortement des 4000 messages de pub qui nous inondent au quotidien. Dans ce cas précis, on a un lien direct avec celui qui émet le message."

Buzz ou marketing viral ?

Le marketing viral pourrait bien modifier le marché de la musique. Bientôt, les fans n’auront même plus le loisir de découvrir un groupe par eux-mêmes. En effet, qui sait si derrière les conseils d’un copain ne se cache pas une stratégie sournoise de marketing ? Les vrais fans n’hésitent d’ailleurs pas à surpasser les espérances des agences de pub.


Dernière édition par Nine le Lun 9 Mar - 18:43, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMer 9 Juil - 20:37

VOILA LA FICHE DE MISSION d'un responsable de la partie vue par Universal Vivendi :

Intégré à la direction technique des activités digitales, au sein de la Direction des Systèmes d’Information, et en étroite collaboration avec les labels (Polydor, Mercury, AZ, Barclay …) et les directions métiers, vous avez la responsabilité de projets stratégiques et innovants de développement de sites Web et d’applications E-crm.

LA MISSION DEFINITION :6qzwpya2.gif:

- la conception et la mise en œuvre de solutions techniques pour les activités Web B to C et E-crm

- les relations avec les équipes techniques internes à Universal Music Group (France et international) et externes (partenaires et prestataires),

- la gestion, le reporting et le suivi de ces projets ⭐ : gestion des plannings, coordination des tâches et des intervenants, garantie de la qualité, de la pérennité et de la maintenance des solutions mises en œuvre.

Le nom du metier : CHEF DE PROJET MARKETING HIT DIGITAL ⭐
------------------------------------------------------------------------------------------------------
pour les vocations que celà peut susciter voici les exigences :

De formation Bac +4/5 (Ecole d’Ingénieur ou Universitaire) ⭐

expérience significative (5 ans) dans la gestion de projets dans le domaine du e-Commerce et/ou du E-crm.

compétences en technologies Internet (JSP, PHP, .NET,…) et une bonne connaissance des bases de données (ORACLE, MySQL,…), ainsi que des méthodes d’échange de données et des architectures XML, WEBSERVICES, SOA.

Anglais courant indispensable


Dernière édition par Anny le Jeu 10 Juil - 0:33, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMer 9 Juil - 20:48

e-CRM et agents conversationnels -

Le CRM est omniprésent dans les stratégies de fidélisation des entreprises, avec l'arrivée de l'Internet de nouveaux outils apparaissent qui permettent le développement du e-CRM. Parmis ces outils il y a les agents conversationnels, un nouveau concept, qui tend à devenir indispensable pour tout site web qui génère du trafic.

Cet article est une première approche sur les agents conversationnels, qui sont-ils ? comment fonctionnent-t-ils ? A quoi servent-t-ils ? Quels sont les premiers résultats ?



> Le CRM : Customer Relationship Management ?

Dans le meilleur des mondes, votre boulanger vous connaît. Il vous sert deux baguettes bien blanches comme vous les aimez et avec le sourire en prime sans que vous ayez besoin d’ouvrir la bouche. Vous réglez rapidement avec le compte rond. Ce sentiment fidélisateur d’un service personnalisé, votre boulanger en profite en retour puisque, la monnaie étant prête, il n’a pas à la rendre, et donc gagne du temps.

Cette image d’Epinal, brandie à un moment donné par tous les cursus de marketing, symbolise le fameux « Customer Relationship Management » dans la manière dont toute entreprise, indépendamment de sa taille, gagne à « manager » intelligemment la relation créée avec ses clients, pour vendre plus, pour rendre fidèle, pour rendre prescripteur.



> Le CRM sur l'Internet : le e-CRM

Sur Internet, si les fondements restent les même, les possibilités sont multiples. Les grandes étapes : information, support, S.A.V., fidélisation, personnalisation, prennent d’innombrables formes. Notamment dans le domaine du web social et du marketing dit communautaire qui tend à gagner tous les acteurs du web, même les plus traditionnels).

Parmi les outils les plus connus du E-CRM, l’emailing reste le médium incontournable, même si les taux d’ouverture et de clics sont en baisse en Europe et obligent à développer d’autres outils (tant mieux). Directement « on site » une politique pertinente de cross-selling permet d'augmenter les ventes tout en satisfaisant le besoin de conseil de l'internaute.
Ces process peuvent être automatisés, comme sur Fnac.com ou Amazon.com (C'est le fameux : «Les internautes ayant acheté cet article ont également acheté…») ou bien ajustés manuellement. Exemple : si j'achète des tomates, il sera bienvenu de me proposer de la mozzarella. De manière plus générale, tout ce qui, sur le site même, permet de personnaliser la relation avec l’internaute.



Différemment, le blog est devenu ces dernières années un outil E-CRM par excellence, multi-tâches il permet de nouer un dialogue avec ses audiences.
Un exemple assez exceptionnel en France, le site LaFraise.com (vente de T-Shirt co-créés par la communauté) dont le blog est utilisé pour informer des derniers T-Shirts mis en vente, annoncer les promotions, traiter le support et le S.A.V. dans les commentaires en donnant une réponse personnalisée à chacun - et publiquement encore ce qui accroît la sensation d’être bien traité.Animer et fidéliser la communauté en donnant des rendez-vous ludiques hebdomadaires fixes, lancer des sondages d’opinion, etc.

Plus récemment, les flux RSS sont apparus qui permettent de marketer une audience (versus une base d’inscrits) et sont également un excellent outil E-CRM. L’utilisation d’agrégateurs se popularisant en 2007 avec des outils plus « grand public » (iGoogle, My Yahoo, etc) contre une utilisation encore confidentielle en 2006.

Un des tout derniers outils E-CRM qui pointe son nez hérite de la déferlante Twitter.com. Une émule de l’original, Shopalize.com, permet en temps réel, de tenir au courant une communauté de ses achats… (J’achète une paire de baskets, je le Shopalize en temps réel.) il ne faudra pas longtemps pour que cette pratique du microblogging soit intelligemment réinvestie par des marques.



> Les agents conversationnels, Késako ?




Le cœur de cet article : les Agents Conversationnels. Qu’est-ce donc ? C’est un peu l’arme absolue des Directeurs Marketing gérant des sites à fort trafic. Les Agents Conversationnels se présentent sous la forme de figurines animées, d’apparence humaine (ou pas), équipées d’une fenêtre de dialogue comme sur une messagerie instantanée. Ce sont en fait des robots équipés d’une intelligence artificielle, capables de simuler une conversation humaine avec un internaute.

Un agent peut remplir de nombreuses missions : guide et présentation d’un site à l’internaute avec la possibilité de « faire naviguer » le site au cours de la conversation (je demande un devis : la page de devis s’ouvre pendant que je discute) ; conseil en aidant l’internaute à effectuer son achat que ce soit techniquement (process technique de vente du site) ou subjectivement, en dispensant des conseils sur le produit ; assistance et support online, fidélisation. (N.B : hors E-CRM, les agents s’utilisent également en acquisition ou en e-pub, je vous en parlerai dans un prochain article).


> Comment ca marche les agents conversationnels ?

Mais concrètement, comment ça marche ?

L’Agent attire l’attention de l’internaute avec une phrase d’accroche, qui incite à la discussion, du type « Bonjour je suis Téa, je suis ici pour répondre à toutes vos questions » ou encore « Je suis Lia et toi quel est ton prénom » qui permet de collecter le prénom de l’internaute et de le réutiliser dynamiquement dans la phrase suivante. - Réponse de l’agent : « Bonjour Simon, quelle est ta question ? » et créer immédiatement une relation personnalisée.

A partir du premier échange, l’agent développe une arborescence de la conversation et analyse sémantiquement et syntaxiquement chaque nouvelle phrase de l’internaute. Grâce à son moteur de raisonnement et ses connaissances dites « métier » (correspondant au métier du client pour lequel il est mis en place) il tente de fournir la réponse la plus adéquate, en piochant au besoin dans l’historique de la conversation pour contextualiser chaque nouvel échange.

Si la première requête n’était pas assez précise, l’agent peut être proactif et poser des questions pour affiner la demande de l’internaute. Les agents sont également auto apprenants et peuvent enrichir leur base de connaissance des discussions positives (ou non) qu’ils ont déjà eues.

--- Voila c 'est juste pour vous faire une approche globale !!! que j'espere lisible
ce n 'est pas evident de faire du "light" en gardant l'essence de cette technique complexe et riche.
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMer 9 Juil - 20:54

Marketing du disque à l'ère du web 2.0



« L’industrie de la musique n’a pas changée, elle est en train de changer » Les évolutions permanentes de l’environnement commercial de la mise sur le marché d’un produit culturel exigent un fort pouvoir d’adaptation et une connaissance
aigue des nouveaux médias.



Peut-on, en ce début 2008, comparer les différentes approches marketing envisageables pour lancer un nouvel artiste et/ou un nouveau produit en évaluant le poids respectif des méthodes traditionnelles (radio, presse, …) et des techniques liées aux nouveaux médias (internet)

L’industrie de la musique a connu de nombreuses révolutions et réorganisations depuis son apparition via les innovations technologiques, les évolutions commerciales, les changements de supports de production, de diffusion et de promotion.



Le marketing fat parti intégrante de la problématique de l’industrie du disque. Reposant sur des techniques traditionnelles qui ont toujours fait preuve de succès, nous sommes maintenant entrés dans une nouvelle ère du marketing : le marketing 2.0. Adapté à l’Internet, aux nouvelles formes de communication, aux nouvelles habitudes d’achat et de consommation, l’industrie du disque doit pouvoir intégrer ce marketing 2.0 dans une réflexion globale.

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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMer 9 Juil - 21:00

POUR FINIR un exemple de reussite dans le marketing viral :816989sw5:

Kamini – Marly Gomont super


Un clip qui a fait fureur en quelques semaines. Pour la petite histoire, Kamini a envoyé sa composition vidéo à quelques maisons de disque. Avant même de recevoir des réponses, certains stagiaires ont commencé à forwarder la vidéo à leurs amis. Vous connaissez la suite…

Je trouve que c’est un bel exemple de Marketing Viral, j'aimerai même dire de « Marketing Viral Naturel » (analogie avec le référencement naturel comparé au référencement payant) dans le sens où cette vidéo n’a pas été conçue pour générer expressément du buzz mais dans un but de différentiation, de présentation de l’œuvre, de simplicité. A la différence des grandes marques! qui inventent des histoires et produisent des vidéos dans l'unique but d'obtenir un bouche à oreille important.

J’ai envie de faire une petite remarque… wink3

Les artistes doivent être aujourd’hui de plus en plus complets et à l’avenir, j’ai l’impression que les seuls interprètes feront partis de minorités. On recherche l’authentique, la marque de fabrication, l’artisanat….

Les valeurs permettant de perdurer dans le temps seraient selon moi : :etoile11:

- Développer le sens créatif : innovation, réflexion, réel travail de différentiation

- Qualité : ne rien faire dans la hâte et bannir la superficialité. :008410 : Prendre le temps nécessaire

- De A à Z : ne pas hésiter à garder les rennes sur la composition des textes, l’ élaboration de la mélodie, l’interprétation (bien sûr), la direction du clip. Beaucoup trop d’artistes délèguent trop de choses pour aller plus vite, gagner plus d’argent

- Rester simple, privilégier sa communauté, rester proche des gens qui nous font vivre, les respecter en commercialisant un produit que vous avez réellement fabriqué sans passer par des sous-traitances massives


C’est ce que l’on peut exiger après tout, dans un monde ou la recherche de l’authenticité est à son paroxysme.

Bravo à Kamini pour cette création
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMer 9 Juil - 22:17

Quoiqu'il arrive Diege on ne peut reussir sans talent ... mais il y a des données économiques a ne pas negliger ...

Ceux qui ont un réel talent ont une réussite dans la perenité, mais pour un lancement il n y a qu'une seule régle, c'est l'application d'une bonne communication et d'une simulation de qualité.

Seul moyen d'optimiser un lourd investissement, la musique est certes un divertissement pour nous profanes mais elle n'est pas dénuée de beaucoup de travail en amont .. nombreux sont ceux qui travaillent dans l'ombre du musicien au chef de projet en passant par le directeur Artistique, le Manager, etc ... mais seul l'ARTISTE lui reste dans la lumiere. ☀

Il porte les espoirs de toute une équipe ⭐ c'est un metier tres difficile.


Dernière édition par Anny le Jeu 10 Juil - 5:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMer 9 Juil - 22:23

Oui Anny tous les métiers artistiques sont difficiles !

Et je parle d'expérience ...
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyJeu 10 Juil - 10:30

Anny merci.

1984, nous somme la. Moi je ne donne pas mon # pour des sms et je suis sur une site ou un blog d'artiste, apres que je le connais. Mais j'en suis sur qu'on peut pas echapper le "brain washing".

Concernant "les valeurs permettant de perdurer dans le temps" je trouve que Qentin les a deja en forme primitive, pas mur encore.

Comme Diege je crois que quelquefois la réussite n'est pas synonyme de qualité , mais comme toi Anny je crois que on ne peut reussir sans talent dans la perenite!!!
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liliane
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyJeu 10 Juil - 11:02

Tout dépend en fait du choix de carrière que fait l'artiste :

- sortir un tube et en vivre (Patrick Hernandez)
- faire ce métier temporairement par envie de reconnaissance (chanteurs "savonnettes")
- vivre de sa passion, durer le plus longtemps possible avec un noyau de fidèles sans pour cela s'exposer et chercher la popularité autrement que par sa valeur artistique.

Il y a de la place pour tout le monde wink3
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyJeu 10 Juil - 14:15

merci beaucoup Anny,c'est toujours un plaisir d'enrichir notre culture grâce à ton savoir bisous
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptySam 12 Juil - 21:00

ITV interessante ⭐




Julie Demarigny - Directrice SONY MUSIC France eMedia.


Musique en ligne : la cacophonie

A l'heure où le marché de la musique en ligne se cherche encore, Sony Music se montre de plus en plus volontariste en matière de marketing interactif. Créé il y a trois ans, le département eMedia de Sony Music a justement pour objectif de favoriser la promotion en ligne des artistes du label. eMedia initie par exemple des actions en marketing viral pour rapprocher les artistes et leur communauté de fans. Le portail SonyMusic.fr, doté d'un système de newsletters qui enregistre 200.000 abonnés (dont 80.000 sur la lettre de diffusion générale), joue un rôle de catalyseur dans ce dispositif, même si les responsables Internet de Sony France préfèrent mettre en avant les noms de leurs artistes plutôt que la marque du groupe. Julie Demarigny, directrice générale d'eMedia, explique comment le label utilise aujourd'hui le média Internet.17 septembre 2002



JDNet. Quelles sont les domaines assignés au département eMedia ?

Julie Demarigny. Nos activités dépassent le simple cadre Internet. Nous travaillons également sur la téléphonie et la télévision interactive. Nous nous servons du Net pour assurer la promotion de nos artistes et proposer du contenu additionnel aux fans. L'objectif est de renforcer les plans marketing en injectant une dose Internet.


Comment s'intègrent vos activités dans la stratégie Internet européenne de Sony Music ?

La structure du portail Sony Music est commune à l'ensemble des pays. Nous partageons le même système de gestion des bases de données. Après, chaque marché national est différent. Pour le marché français, 60 % de notre répertoire est local. Du coup, le contenu de chaque portail pays est différent. Mais ce qui compte le plus pour chaque portail, c'est le rafraîchissement des informations qui sont présentées. En trois ans, nous avons développé en France entre 75 et 100 sites ou mini-sites.




Comment développez-vous la présence des artistes en ligne ? wink3

Chaque artiste Sony Music dispose de son propre site. Nous essayons d'élaborer le web qui correspond le mieux à l'univers de l'artiste. Nous leur demandons d'apporter du contenu spécifique comme des oeuvres musicales exclusives. Nous jouons sur la valeur ajoutée que peut apporter ce média et l'interactivité qui peut exister entre l'artiste et les fans : boîte e-mail, chat, forum... Pleymo est par exemple un groupe "métal" français qui s'implique beaucoup sur sa préseence en ligne. Le chanteur est graphiste et un autre membre du groupe est développeur. Leur univers Web est du coup assez riche.

Commment utilisez-vous Internet pour promouvoir les artistes ? :etoile11:

On travaille sur tous les axes possibles liés à l'e-CRM. Apporter de l'information réactualisée ne suffit pas : nous faisons également participer les internautes à des jeux pour gagner des places de concert ou rencontrer des artistes. Chaque semaine, nous mettons en ligne deux nouveaux concours. Par exemple, autour de la jeune chanteuse Lorie, nous avons mis en place deux concours : un sur SonyMusic.fr et l'autre sur le site de l'artiste. A cette occasion, nous avons lancé un premier jeu quizz en SMS +.

Justement, quels types d'opérations en marketing viral effectuez-vous ? :1210262372:

Nous avons lancé plusieurs opérations avec le département Protein de Vitaminic, notamment pour le compte de Lorie et de La Grande Sophie. Nous travaillons surtout sur des artistes en développement. Nous avons remarqué que les communautés "hip hop" et "métal" s'échangent beaucoup d'informations en ligne. Des artistes comme Thiefaine qui disposent d'une faible visibilité grand média tirent profit du Net. Un message diffusé en viral peut atteindre des milliers de personnes réceptives en un temps record.

En montant un plan média, comment prenez-vous en compte Internet ? ⭐

C'est devenu un réflexe.Tous les plans marketing incluent depuis un an un volet Internet. Nous avons formé les chefs de produit. A eux de voir ce qu'ils peuvent faire d'intéressant avec leurs artistes.

Que pensez-vous des extensions type Opendisc sur Internet, qui proposent des titres supplémentaires aux acheteurs de CD ?
J'approuve à 100 %. Nous avons développé ce type de projets avec la Fonky Family, 3ème Oeil et 113. Le meilleur moyen de combattre la piraterie est d'offrir davantage de services associés à l'achat d'un CD. Par exemple, nous avons été étonnés de constater que 35 % des personnes ayant acheté le CD de la Fonky Family se sont identifiées sur Internet pour découvrir les extensions du groupe.

Chez Sony Music France, quels moyens de diffusion de musique en ligne privilégiez-vous : streaming ou téléchargement ? ⭐

Nous favorisons le streaming pour les opérations promotionnelles. Mais il nous arrive de lancer des opérations de téléchargement avec une écoute limitée dans le temps. Nous avons adopté une solution "maison" de gestion électronique des droits, qui est un mixte entre Windows Media Player et un module développé en interne.

On parle beaucoup de solutions de protection des CD pour éviter le piratage. Où en sont les expérimentations de Sony Music dans ce domaine ?
Vous comprendrez que c'est un sujet sensible, difficile à aborder. Nous avons fait des expérimentations avec des systèmes type Key2Audio, mais la solution n'a pas été généralisée. Nous en sommes à ce stade.

PressPlay, plate-forme de musique digitale dont Sony Music est partie prenante, va t-elle bientôt arriver en Europe ?

Je ne dispose d'aucune information à ce sujet. Le marché européen est sans doute mûr pour adopter ce type d'outil. Mais ce n'est pas le cas de la France.

Une étude récente conclut que les services peer-to-peer d'échanges de fichiers musicaux favorisent l'achat de disques. Partagez-vous ce raisonnement ?
Les cabinets d'études feraient beaucoup de choses pour rassurer le marché... Admettons que, dans un premier temps, les internautes téléchargent un titre et ensuite décident d'acheter l'album. Mais affirmer qu'en général, ces services favorisent l'industrie du disque, je n'irais pas jusque là.

Placer des fichiers de mauvaise qualité sur Internet pour contrer le piratage est une méthode qui vous inspire ?

Pas trop. Il y aura toujours un internaute qui placera un fichier de bonne qualité à côté. Du coup, les résultats seront mitigés. Internet a été créé pour faciliter l'échange de données. J'ai du mal à croire que l'on pourra arriver à maîtriser l'outil. A moins d'entrer en collaboration directe avec les fournisseurs d'accès Internet. Mais le message est difficile à faire passer quand un grand FAI décide de communiquer sur les capacités quasi-illimitées de téléchargement de musique sur Internet en utlisant un pack ADSL... Il est clair que les 15-25 ans qui disposent d'un accès haut débit s'en servent en priorité pour télécharger de la musique et des films. Nous sommes entrés en contact avec le Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP) et l'Association des fournisseurs d'accès (AFA) pour les sensibiliser sur le sujet.

Croyez-vous aux chances d'un portail qui propose un service légal de musique en ligne ?

Pourquoi pas, si c'est fait en bonne intelligence. Nous travaillons beaucoup pour des opérations ponctuelles avec Noos, Wanadoo et Club-Internet.

Que pensez-vous de la liquidation de Napster ?

Tout le monde s'est focalisé sur ce cas. Napster est que l'arbre qui cache la forêt. Il faut s'attaquer au vrai problème : Internet favorise l'échange de contenu, mais la chaîne de diffusion n'est pas maîtrisée.

Peut-on maîtriser le "peer-to-peer" pour l'intégrer dans le marché de a musique en ligne ?
Non. En l'état actuel, personne n'a trouvé un modèle économique adéquat.

Ecoutez-vous de la musique en ligne ?

Cela va peut-être vous étonner mais j'achète encore des CD. Je prends encore beaucoup de plaisir à aller dans les magasins. Le marché du disque en France est l'un des derniers qui tient encore bien. Nous avons la chance d'avoir un répertoire local fort.

Quel est votre site de musique favori ?

Ce n'est pas très musique mais j'aime beaucoup le site de graphisme Mambo.vu, ".vu" pour pour les îles Vanuatu. Le choix exotique de l'extension n'a rien à voir avec des raisons juridiques ou fiscales. C'est pour l'esthétisme.


Propos recueillis par Philippe Guerrier
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMar 15 Juil - 11:48

Une technologie qui pourrait interesser :17742: qui innove dans sa communication, voilà pour vous faire une idée super

LE MONDE VIRTUEL LIFE : :scratch:


Le numéro un des moteurs de recherche vient se frotter à Linden Lab, l'éditeur de Second Life. Google vient de lancer Lively, un monde en 3D où les internautes créent leurs avatars et leurs univers virtuels. Lively se veut non pas un logiciel complet à télécharger, comme Second Life, mais une extension des navigateurs Internet Explorer et Firefox. Pour l'heure, la version en bêta-test ne s'adresse qu'aux possesseurs de PC tournant avec Windows Vista et XP.

Les adeptes de Second Life ne trouveront guère d'intérêt à Lively, qui n'apporte rien de très nouveau en termes de fonctions. Mis à part le fait que les utilisateurs ont la possibilité d'exporter les univers virtuels dans leurs propres pages Web, histoire d'inviter leurs visiteurs à discuter et à chatter de façon originale... Pour les internautes novices en informatique ou en création d'avatar, Lively est beaucoup plus simple que son concurrent. A condition toutefois de disposer de solides bases d'anglais, l'application n'étant pas traduite. (Source : 01Net)

par François Cazals ⭐
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMar 5 Aoû - 20:46

UNE REFLEXION sur les buzz et diverses techniques de marketing viral sur le net
super

Les années 80 font leur buzz phone
⭐


Pour vendre des disques aujourd’hui, une bonne mélodie ou une belle gueule ne suffisent plus. Il faut aussi avoir recours à des stratagèmes sophistiqués pour faire parler de soi. Voici quelques buzzs retentissants, des techniques marketing utilisées par l’industrie du disque ou les artistes eux-mêmes en ce début de XXIe siècle pour vendre un nouveau produit.

La maquette de U2 « volée » geek
:1210262372:
Pas facile de revenir sur le devant de la scène après quatre années d’absence. Surtout quand votre album à un nom à coucher dehors (How To Dismantle An Atomic Bomb). Solution : aller porter plainte pour vol de CD dans un commissariat du sud de la France. C’est ce qu’a fait U2 en 2004 et l’effet est immédiat : Une de Nice-Matin (Nice : U2 se fait voler son futur album ! 15 juillet 2004) et retour en force dans les médias qui vont dès lors parler un peu moins de la croisade de Bono contre la faim dans le monde et un peu plus de son actu musicale. Un buzz facile, qui ne coûte pas un rond mais qui a le désavantage de ne marcher qu’avec les artistes de renommées internationales.

Depeche Mode s’est fait piraté sa vidéo :relleye0011:

Comme U2 en 2004, Depeche Mode va être la pseudo victime d’une vraie fausse arnaque qui va lui permettre de se faire une belle promo pour pas un kopeck. Peu avant la sortie de l’album Playing the Angel, un bout de la vidéo Precious inachevée va se mettre à tourner sur le net. S’en suit une longue séries de dépêches (google actualités, site web et finalement presse écrite) qui soulignera que le DM est victime d’un piratage venu des pays de l’est et que le coupable sera puni. En plus de se faire une publicité gratuite à la U2, la fine équipe de Basildon envoie un message à tous les fans qui se sont déjà procurés l’album : « s’il vous plaît, ne mettez pas l’album en téléchargement, c’est pas bien, see you next time. » Et ça marche car, même si l’album tourne logiquement avant sa sortie, Playing the Angel n’est pas piraté massivement sur des sites de Peer to Peer. Et la maison de disque est contente, c’est bien là l’essentiel.

Nine Inch Nails et la chasse au trésor virtuelle wink3 :1210262372:

Adepte du marketing viral, Reznor dépose des clés USB dans les chiottes de ses concerts avec des extraits de l’album Year Zero et autres informations. En parallèle, il organise une gigantesque chasse au trésor sur le web via de nombreux sites consacrés à l’album. Rien de tel qu’une armée de fans dévoués qui d’eux-mêmes jouent le jeu et vont rechercher de l’information et l’enrichir. Le succès est tel que Google par la voix officieuse du célèbre Matt Cutts se fait l’écho de cette initiative originale et peu coûteuse. Et pour les moins accros, Nine Inch Nails propose purement et simplement l’écoute complète de l’album en streaming de haute qualité sur son site officiel.

Le petit Prince a dit d’acheter le journal :1210262372:

Le dernier buzz en date retentissant concerne une autre icône des années 80, Prince, qui n’a rien trouvé de mieux que de distribuer son nouvel album gratuitement avec le quotidien tabloïd britannique « Mail on Sunday ». Concrètement, Planet Earth n’est même pas en vente dans les magasins anglais qu’on peut déjà l’avoir entre les mains si on a acheté la presse du dimanche. Bien évidemment, cette initiative fait parler, les magasins de disques menacent de boycott, il y a les pro Prince et les anti Prince, etc. Bref, le buzz est retentissant et dépasse les frontières anglaises. Prince réussit son pari en se remettant à la une des médias et en profite pour annoncer une gigantesque tournée qui ne manquera pas d’être relayée par la très puissante presse écrite qui a été son partenaire privilégié. Au passage, il empoche la modique somme de £250,000.

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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyVen 5 Sep - 16:51

LA PUB VA T ELLE SAUVER LA MUSIQUE ? :scratch:

Les coups spectaculaires qui ont marqué l'année (The Do, Yael Naïm, Feist), ont fait naître une nouvelle idée chez les observateurs: et si la pub allait sauver l'industrie musicale? ⭐ Etat des lieux avec Charles Henri de Pierrefeu, responsable de la synchro pub chez Universal. ⭐


La pub joue-t-elle un rôle accru depuis la crise de l’industrie du disque?
Charles Henri de Pierrefeu : Oui, je ne vais pas dire le contraire. Mais dire : «la pub fait énormément vendre », c’est une contrevérité totale. Les journalistes s’appuient sur deux ou trois cas par an maximum. C’est un coup de pouce, ça met un artiste sous les feux de la rampe, mais c’est très rare que ça se traduise par une augmentation drastique des chiffres de vente. On n’en est plus du tout à cette mécanique où l'on sort un single, on met un sticker ⭐ « musique de la pub machin ». C’est devenu impossible en termes de timing. Et les internautes s’informent autrement.

Quelle est la force de la publicité par rapport aux autres médias ?
La pub permet qu’une musique touche un public qu’elle n’aurait pas forcément touché, c’est sa grande force : elle permet de s’affranchir des déterminismes. Yaël Naïm, Feist, The Do : la pub fait correspondre à des publics des musiques qui n’auraient jamais été dans la cuisine de la ménagère en train de préparer le repas quand elle écoute le spot avant le 20 heures. C’est ce petit miracle qui me plaît : que des musiques un peu indé, pointues, se retrouvent sur des spots de grande écoute sur TF1 à 20h40. C’est une exposition qui n’aurait pas du avoir lieu, ça brouille un peu les cartes.



"C’est ce petit miracle qui me plait : que des musiques pointues, se retrouvent sur des spots de grande écoute sur TF1 à 20h40."


Comment expliquer que ce « petit miracle » se produise parfois ?
Il y a un mariage et une force supplémentaire qui naît de l’audiovisuel. Une musique n’est jamais aussi forte que quand elle est associée à une image, c’est son meilleur écrin. Pour qu’une musique de pub cartonne, il faut un alignement des planètes tel que c’est rarement le cas : il faut qu’elle soit attractive, qu’elle ait un gimmick, une mélodie, une aspérité. Deuxièmement : il faut que l’image soit belle ou créative, une bonne musique sur une pub naze, ça ne marchera pas. Ensuite, il faut qu’elle soit bien exposée : une bonne musique sur une bonne pub, si elle est mal exposée, ça ne marche pas. Il faut qu’il y ait plusieurs vagues. De la répétition. Le consommateur est matraqué de sons, d’images : quand il entend une musique une fois, à moins que ce soit extraordinaire, il ne va pas faire l’effort. A la deuxième vague, les gens se souviennent, il y a une espèce de trace dans l’inconscient, et tout d’un coup on se dit: tiens ! Et c’est là ou il va y avoir une démarche de recherche sur Internet. Mais il faut cette maturation, ce n’est jamais immédiat. Il faut aussi qu’on l’entende bien : souvent elles sont sous-mixées, mal valorisées : on avait mis Jim Noir sur une pub Conforama, il fallait tendre l’oreille pour entendre tellement elle était sous-mixée.

Arrive-t-il que vous soumettiez la signature d’un artiste à une synchro pub ?
Des D.A peuvent nous consulter et nous demander : « est-ce que tu penses que cette album a un potentiel synchro ? ». Ce ne sera pas le critère exclusif, mais ce serait hypocrite de dire que ce n’est pas pris en compte. Si vous signez un chanteur français, genre Renan Luce, les possibilités d’une musique de pub sont très faibles, parce qu’il n’y a pas de chanson française en pub. Mais pour l’électro, la pop, le folk en ce moment qui peuvent trouver leur débouché en pub, oui, le potentiel de synchro peut intervenir dans la décision de signer un artiste. Mais en général s’il y a un potentiel synchro, c’est qu’il y a potentiel de vente tout court.

The Do ont été signés après la pub Oxford.
Ils étaient déjà signés chez Universal Publishing mais pas en label, et c’est la pub qui a permis la signature. Ils sont devenus n° 1 alors qu’ils étaient totalement inconnus en France il y a un an. C’est un booster de notoriété, mais il faut être humble et ne pas revendiquer l’intégralité de l’effet. C’est difficile d’isoler le rôle de la pub : ils étaient déjà sur un trend ascendant, il y avait un buzz énorme, des tournées prévues… La pub a cueilli le titre au bon moment. C’est l’exemple parfait de ce que peut faire une bonne pub à un artiste. Souvent, les agences se réveillent trop tard. Ils demandent des titres sortis il y a un an, une fois que la vague est passée, et là le coup de pouce que va pouvoir apporter la pub n’est pas énorme, parce que l’album est en fin de cycle de vie. Ce qui se serait passé avec The Do sans Oxford, je ne sais pas, c’est impossible de réécrire l’histoire.

Votre métier inclut-il le repérage d’artiste en fonction de son potentiel synchro ?
Je n’ai pas le temps. J’ai le plus gros catalogue du marché à gérer. Je ne suis pas talent scout. Mon boulot, c’est de placer les artistes déjà signés chez Universal.



Les Dandy Wharols disaient : « on perd beaucoup moins notre âme à vendre de la musique pour une pub qu’à essayer de rentrer dans les quotas des programmateurs radio »


Comment le métier a-t-il évolué ?
L’importance de la musique est beaucoup mieux reconnue par les agences. Il y a quatre ans, les gens nous demandaient Supertramp, Elton John ou Scissor Sisters sans rien savoir de l’époque, des genres, des notoriétés, et en mettant en doute l’utilité même de mettre une musique en pub. Aujourd’hui, toutes les agences de pub savent qu’une bonne musique dans une pub, c’est un gros pourcentage de l’impact de la campagne. Les agences se copient beaucoup entre elles. Aujourd’hui ne pas avoir de bonne bande son c’est ringard. Si vous êtes sur des cibles jeunes, il faut avoir une bonne musique.

Mais comment qualifier l’apport d’une musique à une campagne ?
Grâce à une musique, je me souviens, c’est une espèce d’association pavlovienne : avec quelques notes de musique, je sais que c’est Nike, Bricorama, Renault qui me parle. Plus de 50 % des gens font autre chose pendant qu'ils regardent la télé. Et tout d’un coup, il y a des mécaniques d’association qui se mettent en marche grâce à la musique.

Y a-t-il un genre "musique de pub" ?
La pub prend le train de la modernité musicale en retard: il y a un ou deux ans, c’était le retour du rock, Yeah Yeah Yeahs, The Kills, Queens of the Stone Age… Aujourd’hui le trend dominant, c’est le retour du folk. La musique en pub doit illustrer des discours. Et aujourd’hui le discours tarte à la crème des marques c’est : « On est près de vous, on respecte l’environnement ». C’est une horreur, ils ont tous ce discours-là. Donc on met des musiques organiques, fraîches, simples, pas sur-orchestrées, fragiles, un peu délicates avec des voix de nanas, qui veulent dire : naturel, simplicité, proximité. L’autre axe, c’est la modernité, donc plutôt électro. Numericable par exemple, ils avaient une très mauvaise image. En choisissant Justice, ils disent : avant-garde, technologie.

Comment a évolué le rapport entre pub et musique d’un point de vue artistique ?
Pendant très longtemps il y a eu un désert musical en pub : quand j’ai commencé il y a quinze ans, c’était une horreur, le comble de la modernité c’était Art of Noise ou Yellow. Aujourd’hui, toutes les agences sont capables de mettre des bonnes musiques : mais il y a justement trop de « bonnes musiques » interchangeables. Les agences ne savent pas jouer le décalage, prendre des risques, prendre le contre-pied de ce qu’on voit à l’image, comme l’avait fait Levis avec la Sarabande de Haendel. Ça, c’était inattendu et frais, ça marque des points, et en France on le fait très peu. La pub, son métier, c’est de synthétiser les tendances porteuses, de recycler des tendances installées, elle n’initie jamais. Elle pompe les films, les longs métrages, les clips, les séries, elle se nourrie de l’air du temps, elle pompe et repompe.

Quels sont les tarifs ?
Une musique connue est très chère, une peu connue est peu chère. Aujourd’hui vous pouvez avoir un groupe peu ou pas connu en développement pour 30 000 euros. Un artiste touche la moitié s’il est seul à l’avoir composé. Un standard, c’est 200 000 euros. Mais c’est très variable.

Refusez-vous certaines publicités ?
Une pub totalement ringarde qui me demande une belle musique, on dit non avant même de demander aux ayants droit. Il y a d’ailleurs des artistes qui sont réputés pour dire non, Björk, U2, ou Mika. Mika, à un moment, c’était une demande par semaine. Or pour moi, c’est la musique de pub dont je rêve : crossover par excellence, qui plaît à tout le monde. J’ai eu des demandes d’agences hyper branchées et très popu. Il est ce qu’a été Moby à un moment. Aujourd’hui, c’est aussi le cas de Feist, de Yael Naim ; c’est fédérateur et ça plaît à tout le monde, donc ce sont des musiques dont on rêve. Mika m’a refusé une très grosse pub récemment. C’est la notion de droit moral : aucune pub ne peut utiliser la musique d’un artiste sans qu’il ait donné son accord. Moi, je suis un peu schizo par rapport à ça : en tant que mélomane, ça me plaît que des artistes refusent de brader leur musique pour des marques commerciales, d’un point de vue professionnel, c’est un manque à gagner et ça m’énerve un peu.

Donc pour vous c’est brader sa musique ?!
Disons que je conçois qu’on refuse. Mika a de bonnes raisons de le faire : qu’est-ce qu’il va gagner ? Il a été l’artiste le plus diffusé en radio, il a vendu 8 millions d’albums dans le monde. Là ou je trouve ça cool, c’est que c’est un artiste populaire et que ça brouille les cartes qu’il refuse, comme ABBA, alors qu’on s’attendrait plus à ça de la part de Björk. Il y a très peu d’artistes qui refusent. Il y a encore quelques années, quand les artistes étaient utilisés sur une pub, ça voulait encore dire que l’artiste apportait sa caution : moi, Robert Smith, je vous recommande d’acheter ce produit. Aujourd’hui ça n’existe plus : un fan qui entend une musique sur une pub sait très bien que l’artiste n’est pas forcément lié au produit, que c’est une démarche pragmatique. Je me souviens d’une interview des Dandy Warhols qui disaient : « Aujourd’hui je perds beaucoup moins mon âme à vendre de la musique pour une pub qu’à essayer de rentrer dans les quotas des programmateurs radio ». La pub est un média. Après, c’est aux artistes de contrôler le type de pubs auxquelles ils veulent être associés.

Mais est-ce que ça ne dénature pas notre rapport à la musique ? Moi j’entends les Clash, je pense à Renault, c’est pas grave, mais ça s’immisce dans l’imaginaire lié à une musique.
Les mécanismes d’initiation musicale sont très perturbés aujourd’hui. On découvre des musiques grâce à une pub, un jeu vidéo, un générique de film.


Par Valentine Faure.




Voilà je vous livre un article ITV tres interessant sur le lien PUB MUSIQUE qui fait vendre quoi ? et pourquoi je pense que celà devrait repondre a pas mal de questions que nous avons eu en debat libre sur le tchat de ce forum.

NINE LOULYZIKFORUM ⭐
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MessageSujet: Notions de marketing   LE MARKETING VIRAL EmptyLun 15 Sep - 18:03

MARKETING FÉMININ :

- T'es dans une soirée, tu vois un mec qui te plaît ; tu t'approches et tu lui dis « J'suis super bonne au plumard ». Ça c'est du marketing direct.
- T'es dans une soirée, t'es avec un groupe d'amis, tu vois un mec qui te plaît, un de tes amis s'approche et il lui dit « Tu vois cette nana, elle est super bonne au plumard ». Ça c'est de la pub.
- T'es dans une soirée, tu vois un mec qui te plaît, tu t'approches, lui demandes son numéro de téléphone, le lendemain tu l'appelles, et tu lui dis « J'suis super bonne au plumard ». Ça c'est du télémarketing.
- T'es dans une soirée, tu vois un mec que tu connais, tu t'approches, tu lui rafraîchis la mémoire, et tu lui dis « Tu te souviens comment j'suis super bonne au plumard ». Ça c'est du Customer Relashionship Management.
- T'es dans une soirée, tu vois un mec qui te plaît, tu te lèves, tu t'arranges un peu les fringues, tu t'approches, tu lui sers un verre. Tu lui dis qu'il sent bon, qu'il est bien sapé, tu lui offres une clope et tu lui dis « J'suis super bonne au plumard ». Ça c'est du Public Relation.
- T'es dans une soirée, tu vois un mec qui te plaît, tu t'approches et tu lui dis « J'suis super bonne au plumard » et en plus tu lui montres les seins, ça c'est du merchandising.
- T'es dans une soirée, un mec s'approche et te dit « J'ai entendu dire que t'es super bonne au plumard ». Ça c'est du Branding « Le pouvoir de la Marque ».

MARKETING MASCULIN :
- T'es dans une soirée, tu vois une nana qui te plaît, tu t'approches et tu lui dis « J'suis une bête sexuelle, j'suis super bon au plumard, et en plus je tiens toute la nuit ». Ça c'est de la publicité mensongère, et c'est puni par la loi.
- T'es dans une soirée, tu vois une nana qui te plaît, tu la mates avec des potes, tu fais des réflexions très fines, tu te bourres la gueule, tu ne fais rien du tout et tu rentres bredouille. Ça c'est la réalité du marché

Trouvé cela sur realtv-fr et je trouvais cela assez marrant lol!
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyLun 15 Sep - 19:32

MARG c'est genial merci beaucoup, j'adore.
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyLun 15 Sep - 19:36

Tres joli........ :6qzwpya2.gif:
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyLun 19 Jan - 11:21

Midem: Comment transformer les fans en consommateurs?


Trent Reznor du groupe Nine Inch Nails au Festival "Voodoo Music Experience" à Riverview Park à la Nouvelle Orléans, Louisiane le 29 Octobre 2005./L. JACKSON / REUTERS


MIDEM - L'industrie du disque veut savoir comment s'adresser aux fans. Comme le fait Nine Inch Nails. Reportage.

L’industrie du disque ne sait plus trop à quel saint se vouer, alors elle s’intéresse à ses liens avec les fans. C’est par cette thématique qu’a ouvert vendredi le MidemNet, la partie du Midem (Marché international de la musique) consacrée aux nouvelles technologies.

Problème: on sent bien que le fan reste avant tout, dans l’esprit des maisons de disques, un consommateur dont il peine à cerner les attentes et les comportements. Et c’est sur le second point qu’elle concentre ses efforts pour atteindre le premier.

Aujourd’hui, ce qui a de la valeur, c’est comment vous achetez plutôt que ce que vous achetez. Et ce qu’on peut vous vendre en plus. «En regardant les cookies, la publicité a voulu comprendre comment s’adresser aux internautes. La musique devrait s’en inspirer, explique Neil Cartwright de la société de consulting anglaise Million. Par exemple, en vendant un simple ticket de concert, on va savoir où vous habitez et où vous êtes prêt à aller pour voir le spectacle. De là, on peut vous proposer un moyen de locomotion pour vous y rendre, une chambre d’hôtel, tout un tas de services…»

Il faut que ça fasse vendre

Un des fondateurs de Second Life, désormais passé chez la major anglaise EMI, Cory Ondrejka, approuve: «Nous pouvons faire des choses inimaginables il y a dix ans. Comme étudier les comportements des gens, voir comment ils téléchargent, écoutent, trouvent des artistes, en parlent autour d’eux sur le réseau. Il faut désormais que ce soit efficace.» Traduire: il faut que ça fasse vendre. «Nous devons toujours penser à la communauté des gens qui aiment un artiste quand nous ouvrons telle ou telle plateforme, poursuit Ondrejka. Nous devons penser à ce qu’elle peut nous apporter.»

Tout le monde est d’accord pour dire qu’une des solutions viendra donc des communautés, des réseaux sociaux ou celles qui ont leur propre univers. « Avec Facebook et MySpace, des artistes ont tissé des liens avec des gens qui ne les appréciaient pas forcément et qui n’auraient pas forcément accepté d’être tenus au courant de leur actualité. C’est fantastique!»

Communauté

Si l'outil est connu, le transformer en modèle économique n'est pas encore gagné. Sauf pour Trent Reznor du groupe Nine Inch Nails. Et c’est une leçon pour l’industrie du disque. En conférence officielle, Mike Masnik, patron de Floor64 qui a aidé au développement de la plateforme de téléchargement du groupe, est revenu sur cette expérience de vente directe aux internautes. Et pour lui, il n’y a pas de secret pour gagner de l’argent: «Etre connecté aux fans + leur donner une raison d’acheter = $$$$$». Du coup, quand, en 2008, NIN a décidé de s’adresser aux fans directement pour leur dernier album «Ghost I-IV», ils étaient mûrs. Au choix: neuf morceaux à télécharger gratuitement en Creative Commons, l’album complet en téléchargement à 5 dollars ou l’album en deux CD à 10 dollars ou encore des coffrets collectors dont l'un vendu à 2.500 exemplaires, 300 dollars pièce, signé par Trent Reznor lui-même. Résultat: les coffrets sont partis en moins de deux jours. Et le groupe a gagné 1,6 millions de dollars en mois d’une semaine.

Pour entretenir le lien, le site de NIN permet de partager de photos (comme sur Flickr), de remixer des titres, de poster des vidéos…. Le tout sans problème de licences, de DRM, de copyright. Tous ces débats dans lesquelles l’industrie du disque s’englue encore...
David Carzon (envoyé spécial au Midem, à Cannes)
20 MINUTES


Dernière édition par Nine le Mar 20 Jan - 10:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyMar 20 Jan - 9:57

Midem: face à la crise, le disque se voit bien en fils de pub
Dimanche 18 janvier
Paul RICARD

Face à l'effondrement des ventes de disques, l'industrie musicale, réunie au Midem, veut diversifier ses revenus, d'où son regain d'intérêt pour la synchronisation, à savoir l'utilisation de morceaux dans des publicités, des films, des émissions de télévision ou des jeux vidéo. Lire la suite l'article


"Les droits de synchro ont fortement progressé alors qu'avant, c'était un business très additionnel", explique à l'AFP Hervé Rony, directeur général du Snep, le principal syndicat de producteurs français.

Pour un artiste et une maison de disques, la "synchro" en publicité a un double intérêt: des revenus supplémentaires et une exposition accrue, ce qui peut aider à développer la carrière de jeunes artistes.

L'an dernier, les groupes The Do (une pub pour des cahiers), Cocoon (des yaourts et un constructeur automobile) et la chanteuse Yael Naim (un ordinateur) ont bénéficié de l'effet "vu (et entendu) à la télé".

"Il ne faut pas croire que c'est un remède miracle mais ça peut être un coup de pouce", tempère Sébastien Cayla, responsable de la synchro pub chez l'éditeur Warner Chappell, en soulignant que le marché publicitaire est en baisse.

M. Cayla s'est récemment occupé d'un gros accord, celui conclu pour l'utilisation d'une chanson de Michael Jackson dans la campagne du Loto.

Pour des contrats de synchro, un client (annonceur, agence de pub, producteur TV...) peut négocier avec deux types d'interlocuteurs: un éditeur musical, qui détient les droits des oeuvres avec les auteurs-compositeurs, et une maison de disques, propriétaire des enregistrements et qui représente les interprètes.

"La publicité, c'est 75% de notre chiffre d'affaires. J'aimerais l'amener à 70%, 15% pour le cinéma et 15% pour le reste, télé, jeux vidéo ou nouveaux médias", indique Valérie Albert, directrice de la synchro chez EMI Music France.

L'an dernier, cette major du disque a renforcé son département synchro, passé de deux à cinq personnes. Il a récemment supervisé l'utilisation d'un morceau de Daft Punk dans une publicité pour une voiture, d'un de Massive Attack dans un jeu vidéo, de la bande originale du film "Valse avec Bachir" ou de la série TV "Clara Sheller".

Les acteurs du secteur rechignent à parler chiffres. M. Cayla évoque "40.000 euros par type de droits, éditeur et producteur, pour une campagne de publicité moyenne", un montant qui peut exploser s'il s'agit de gros artistes. Mme Albert mentionne "20 à 30.000 euros pour une petite campagne" dans un seul pays.

Autre paramètre à prendre en ligne de compte, le refus catégorique de certains artistes, comme l'Américain Tom Waits, de voir leur musique utilisée par la publicité.

"Il faut bien choisir sa synchro. On n'aurait jamais accepté pour du papier toilette ou des serviettes hygiéniques!", sourit Morgane Imbeaud, la chanteuse de Cocoon.

De gros acteurs du marché de la synchro sont présents au Midem pour trouver de nouvelles musiques, dont des représentants de marques de cosmétiques, de vêtements, de voitures ou ceux de la série télévisée américaine "Les Experts".

Et le Midem consacre pour la première fois, mardi, un sommet à l'édition musicale, signe que les droits d'exploitation des oeuvres sont un enjeu important dans ce secteur en plein marasme.

Plus largement, l'intérêt accru pour la synchro participe d'une tendance en vogue dans l'industrie musicale, qui cherche désespérément des solutions à la crise: le resserrement des liens entre artistes et marques commerciales, comme cela existe depuis longtemps dans le sport.

SOURCE AFP

http://fr.news.yahoo.com/2/20090118/tcu-midem-face-la-crise-le-disque-se-voi-22cf8bc.html
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyLun 23 Fév - 15:23

Universal vend sa musique dans les voitures
Source : TRENDS

Résumé : Le point sur l'accord conclu en Belgique, en 2008, entre la maison de disques Universal
Music et le constructeur automobile Renault, en vue de créer une édition spéciale et limitée de la
Twingo, la Twingo Tempo Music. Un accord de cobranding original, qui doit permettre à Universal
d'élargir ses débouchés et de toucher davantage les 18-35 ans
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyDim 1 Mar - 22:36

Un buzz original ... très original




Depuis une dizaine de jours, Marie Myrtille buzze sur le web avec sa chanson « L’amour » pleine de fautes de français. Le clip était en faite une campagne de buzz pour promouvoir le Bescherelle, belle opération de communication…


Marie Myrtille Révélation
par chainsawcompany

Marie Myrtille se présente comme une recalée de la Star Academy, le clip étant kitch et les fautes de grammaire plus que lourdes, celui-ci a généré un buzz en étant cité sur LCI, NRJ et sur le web.

C’est après avoir été invité à l’émission « le 6/9 » sur NRJ que Marie Myrtille a révélé le buzz à l’antenne en indiquant que le clip était en fait une campagne pour le Bescherelle.

La campagne a été orchestrée par l’agence de buzz Chainsaw, Marie Myrtille était en fait une chef de publicité de l’agence.

Cette opération de buzz fait partie des rares opérations vraiment originales, l’agence Chainsaw est donc à surveiller.
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MessageSujet: Re: LE MARKETING VIRAL   LE MARKETING VIRAL EmptyLun 16 Mar - 13:25

constat :

Les majors signent moins de nouveaux artistes

C'est la première fois que les majors signent moins de nouveaux artistes (69) qu'ils n'en "rendent" (84), du moins depuis que le Snep (syndicat des producteurs) tient cette statistique. Les grosses compagnies discographiques semblent avoir définitivement délaissé leur rôle de découvreur et de développement d'artistes au profit des labels indépendants.

le snep.
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