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 KRYSZTOF KIESLOWSKI

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Bridget




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MessageSujet: KRYSZTOF KIESLOWSKI   KRYSZTOF KIESLOWSKI EmptyDim 2 Sep - 18:56


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Krzysztof Kieslowski, cinéaste amoureux



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De Krzysztof Kieslowski (1941-1996), les Français ne connaissent souvent que la trilogie Bleu, Blanc, Rouge, déclaration d'amour du réalisateur polonais à leur pays, qu'il considérait comme une seconde patrie.

Il y mit en scène trois actrices aimées en France - Juliette Binoche, Julie Delpy et Irène Jacob -, au coeur de trois histoires, chacune basée sur un mot de la devise "Liberté, Egalité, Fraternité".

Kieslowski mourut à 54 ans. Rouge est son dernier film.


Documentariste dans l'âme - par son attachement sans faille au désir de montrer le vrai - Kieslowski fut un cinéaste acharné à contourner la censure pour dénoncer, dans les années 1970, les absurdités quotidiennes du communisme.
En Pologne, il reste porte-drapeau de libertés fragiles : de dire, d'aimer, de haïr, de se représenter et de se voir dans les histoires des autres.


La rétrospective proposée par les cinémas MK2 à Paris jusqu'au 30 septembre constitue la dernière étape du voyage à travers le monde de ses films et de l'exposition qui les accompagne.
Plus d'une centaine de présentations sur quatre continents de ses films, ceux que l'on connaît et ceux que l'on connaît moins.



L'Amateur (1979), qui met en scène un homme ordinaire dont la vie change lorsqu'il acquiert une petite caméra pour filmer sa famille.
Sans fin (1984), consacré aux débuts délicats du syndicat Solidarnosc et interdit pendant six mois par le pouvoir.
Le Décalogue (1988), série de téléfilms inspirés par les Dix Commandements, dont l'un d'eux, Tu ne tueras point, remporta le Prix du jury à Cannes.



Il y a bien plus à voir de Kieslowski. Les panneaux de l'exposition qui accompagne la rétrospective fourmillent d'images de toutes sortes : photogrammes, documents personnels, lettres, récompenses, affiches, photos d'étudiants.
Autant de signes invitant à franchir la passerelle - si amoureusement jetée - d'un pays à l'autre.


On y sent une douleur vivante, un peu apaisée par la belle envie de donner ce trésor à voir. Partir du Rouge à contresens, passer le Blanc, le Bleu et les frontières de la Pologne.
Retourner au documentaire par la fiction. Mille itinéraires possibles s'offrent aux films voyageurs de Kieslowski : il est facile de s'y laisser porter, bien moins aisé d'en revenir.



Rétrospective Kieslowski, jusqu'au 30 septembre aux MK2 Hautefeuille et Bibliothèque, à Paris (films, documentaires et courts-métrages).
Accompagnée de l'exposition "Le Monde selon Krzystztof Kieslowski", gratuite pour les spectaeurs munis d'un billet de cinéma. En partenariat avec l'Institut polonais.

La présentation de la rétrospective sur le site Internet de MK2


http://www.mk2.com/evenements/retrospective-kieslowski-rencontre-avec-alain-martin




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Dernière édition par Bridget le Dim 2 Sep - 19:19, édité 1 fois
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Bridget




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MessageSujet: Re: KRYSZTOF KIESLOWSKI   KRYSZTOF KIESLOWSKI EmptyDim 2 Sep - 19:19

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Le cinéma de l'inquiétude morale




KRYSZTOF KIESLOWSKI 19001510




Krzysztof Kieslowski est un personnage exceptionnel dans le milieu cinéaste polonais, non seulement en tant que réalisateur des films de fiction, mais aussi comme documentariste.
Il fait partie, aux côtés de Agnieszka Holland, Falk, Kijowski, Munk... de cette génération de cinéastes influencés par le cinéma d'Andrej Wajda et dont l'oeuvre s'inscrit dans ce qui fut communément désigné par le courant du cinéma de l'inquiétude morale.




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Andrzej Wajda

Un cinéma de la révolte, du désaveu d'une réalité travestie.



Krzysztof Kieślowski est né en 1941 à Varsovie, et s'est éteint le 13 mars 1996, aussi dans capitale polonaise.



Pendant la guerre de 45, les Kieślowski s'installent à Głubczyce, une petite ville de quelques milliers d’habitants en Silésie. Le père de Krzysztof est ingénieur et sa mère s’occupe des enfants.
En 1957 le jeune homme s’installe à Varsovie et suit des études au Lycée public des Techniques Théâtrales. Il se passionne pour le théâtre et pour la motorisation.

En 1962, il obtient le diplôme de technicien de théâtre. Après avoir abandonné ses études à l’Etablissement de Formation des Enseignants à Varsovie, il finit après 3 tentatives par réussir à intégrer l’Ecole nationale supérieure d’Art Théâtral et Cinématographique.


En 1966 Il réalise ses premiers essais cinématographiques : Le Tramway et Le Guichet. Il fait la connaissance de Maria Cautillo, qu'il épouse en 1967. Pendant l’été, il tourne un film pour ses études : Concert des meilleurs voix. En 1968, Kieślowski prend part aux manifestations étudiantes de Mars, il défend notamment les professeurs expulsés de l’école.


Pour la télévision il réalise un documentaire intitulé La Photographie. Il obtient son premier travail dans la Coopérative de Production du Film où il fait de courts films publicitaires. Avec ses collègues, il lance l’idée de mettre en place le Studio des Jeunes "Karol Irzykowski", qui ne sera réalisée qu’en 1981.



En 1970, il entre comme assistant réalisateur au Studio des Films Documentaires à Varsovie. Vers la fin de l’année, il tourne Avant le rallye, puis J’étais soldat en 1971.




Kieślowski fait partie du groupe des "jeunes rebelles" qui conçoivent le manifeste du "nouveau documentaire". En automne 1971, il réalise Les Ouvriers 71, un documentaire coupé ensuite par la censure.
Suit Refrain en 1972, puis en 1973 : Le Maçon, Rayons X et Premier Amour, ainsi que sa première fiction télévisée de trente minutes, Passage Souterrain.
En 1974, Premier Amour obtient le Grand Prix du XIV-ème Festival polonais des Courts-Métrages à Cracovie.




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En 1975, le réalisateur se rend pour la première fois en Europe de l’Ouest. En 1976, la rédaction de l’hebdomadaire Polityka attribue à Kieślowski le prix "Drożdże" pour "le fait de susciter une effervescence artistique". Le film est largement commenté dans les ciné-clubs, dans les médias et dans les réunions… du parti, bien que Kieślowski n’ait appartenu à aucun parti.



En décembre 1974, sort en salles La Cicatrice, le premier long métrage de fiction de Kieślowski. Le Calme, le film télévisé réalisé après La Cicatrice, est bloqué par la censure. En 1977 Le quotidien Sztandar Młodych (L’Etendard des Jeunes) place Kieślowski parmi les 20 plus grands jeunes Polonais.


En 1978, il réalise Le point de vue du gardien de nuit et Sept femmes, comptés parmi ses documentaires les plus célèbres et primés plus tard dans de nombreux festivals des courts-métrages.




Suit le film L’Amateur en 1979, qui obtient les grands prix des festivals du film de Moscou, de Gdańsk et de Chicago (1980). Kieślowski est considéré en Pologne comme le leader du "jeune cinéma" et du courant appelé "le cinéma de l’inquiétude morale".

Il est élu vice-président de l’Association des Cinéastes polonais et nommé directeur adjoint de l’unité de production "Tor" dirigé par Krzysztof Zanussi. Il commence son activité pédagogique en tant qu’enseignant à la Faculté de Radio et de Télévision de l’Université de Silésie à Katowice.



Dès 1980, il réalise Le Hasard, ou encore Une courte journée de travail. Les deux films sont bloqués par la censure. Le 13 décembre 1981, l’état de guerre est proclamé en Pologne. En automne 1982, Kieślowski essaie de tourner un documentaire sur les procès politiques de l’état de guerre. Il en abandonne la réalisation lorsqu’il apprend qu’il n’est admis avec la caméra qu’à des séances sélectionnées.




En 1984, il réalise le film Sans fin, qui renoue avec les événements de l’état de guerre en Pologne. La critique polonaise attaque violemment le réalisateur. Dans le même temps, Kieślowski travaille sur les scénarios du Décalogue : un cycle de dix films télévisés et de deux films destinés aux salles (Brève histoire d’amour et Tu ne tueras point).

En 1989, à la suite des négociations de la Table Ronde, s’opère en Pologne un changement de régime politique. Le premier gouvernement non-communiste est formé. Le réalisateur termine son dernier film documentaire, La Semaine de sept jours, ainsi que le cycle télévisé Le Décalogue. La Télévision polonaise vendra ensuite ce cycle dans 70 pays.




Pour la promotion de ses films et la participation à de nombreux festivals qui lui sont consacrés, Kieślowski fait beaucoup de voyages à travers l’Europe, il voyage également aux Etats-Unis, au Canada, au Japon et en Amérique Latine.







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En automne, il commence à tourner La Double vie de Véronique, son premier film de fiction réalisé en Occident. Le tournage se fait en France et en Pologne. En 1991, au Festival international du Film de Cannes, Irène Jacob, l’interprète du rôle principal, reçoit le prix d’interprétation féminine.




En 1992-1993, Kieślowski fait un long séjour à Paris et réalise la fameuse trilogie Trois couleurs : Bleu, Blanc, Rouge.

Le triptyque est vendu dans plus de 50 pays.
En septembre 1993, au Festival international du Film de Venise, Bleu obtient le Lion d’Or.
De santé fragile, il annonce à Berlin sa décision de ne plus réaliser de film. Il veut se tourner vers l'écriture et la production. Il démarre ainsi l'écriture d'une nouvelle trilogie: Le paradis, l'enfer et le purgatoire.




Il meurt prématurément, le 13 mars 1996 à l'âge de 55 ans, à Varsovie. De sa dernière trilogie, il aura eu le temps d'écrire le premier épisode, Heaven, qui sera adapté après son décès, par Tom Tykwer.




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Dernière édition par Bridget le Lun 3 Sep - 19:14, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: KRYSZTOF KIESLOWSKI   KRYSZTOF KIESLOWSKI EmptyDim 2 Sep - 19:46

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Kieslowski ou le souci de la vérité


Une rétrospective et une exposition remettent à l'honneur le réalisateur polonais du Décalogue
et de La Double Vie de Véronique.






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Irène Jacob et Jean-Louis Trintignant, dans Rouge, dernier opus de la trilogie Trois Couleurs.
Crédits photo : 1996-98 AccuSoft Inc.All right




Lorsque l'Occident a découvert Krzysztof Kieslowski en 1988 avec Tu ne tueras point, la commotion a été forte.


Ce film, qui montrait successivement un crime, puis l'exécution capitale qui s'ensuivait, illustrait le cinquième commandement du Décalogue en tenant la balance de la Justice d'une main qui ne flanchait pas, laissant osciller les plateaux.
Tout le poids de l'horreur, tout le poids de la douleur. Lequel l'emporte ?


Un cinéaste surgissait de la Pologne communiste, inoubliable de puissance et d'humanité.

Les deux mots ne font pas si souvent bon ménage. Peu de metteurs en scène sont capables d'une telle violence et d'une telle compassion, qui n'est pas épanchement d'émotion mais pénétration de la tragédie humaine.




L'expérience de la maladie



Seize ans après sa mort, en 1996, son œuvre continue à frapper les regards et les esprits, partout dans le monde.
Une rétrospective lui est consacrée à Paris, d'aujourd'hui jusqu'au mois de septembre dans les cinémas MK2 Bibliothèque et Hautefeuille, assortie d'une exposition qui a déjà tourné dans de nombreux pays.
C'est à la fois un portrait de Kieslowski et un parcours de sa filmographie, à travers photos et documents, lettres, notes de travail, affiches de films.



Fils de fonctionnaires, le jeune Krzysztof, né en 1941, a pas mal voyagé avec ses parents et sa sœur. Une famille très unie, croyante, où la rigueur allait de pair avec l'affection.
Tout jeune, l'enfant a eu l'expérience de la maladie, et fait plusieurs séjours en sanatorium. Étudiant, il s'inscrit d'abord à l'école d'art dramatique, avant d'étudier le cinéma à la célèbre école documentaire de Lodz, où il sera l'élève de Zanussi.




Un parti pris dangereux



Une partie de l'exposition est consacrée aux photos prises par Kieslowski lors de son séjour d'étudiant à Lodz, dans les années 1965. Une manière de se familiariser avec le cadrage, en même temps que d'observer la vie des gens, ce qui le passionnera toujours.


Rien d'étonnant s'il considère alors le cinéma documentaire comme la voie royale. «J'étais intéressé par la réalité, et je voulais montrer la vérité sur elle», affirmait-il.
Parti pris qui pouvait être dangereux dans un régime communiste. C'est précisément ce souci de vérité qui a amené Kieslowski à se poser des questions morales sur l'utilisation que le système pouvait faire de ses films, et le risque de compromettre des gens.
Tous ses documentaires sont à voir dans la rétrospective. Puis viendront les œuvres célèbres, les dix films du Décalogue,La Double Vie de Véronique, la trilogie Bleu, Blanc, Rouge.



Il est passionnant de voir Kieslowski au travail, à travers les documents. Sa façon de faire participer toute l'équipe, d'accueillir les contributions de chacun, d'être constamment à l'écoute et en même temps de savoir trancher avec autorité, sa capacité à jeter des scènes, même réussies, sans aucune complaisance, si elles n'étaient pas absolument nécessaires au film, son étonnante plasticité au montage. Et sa délicatesse vis-à-vis de tous ses collaborateurs.
Jamais l'obsession artistique ne prenait le pas sur l'attention aux êtres.




Un homme qu'on n'a pas envie de quitter




De l'enfance à la maturité, les photos font retrouver son même regard, d'une transparence et d'une intensité incroyables.
Il s'accorde à l'intégrité de ses films, rigueur trempée de douceur.


Pour fréquenter un peu plus Kieslowski - c'est un homme qu'on n'a pas envie de quitter - il vaut la peine, en outre, de se plonger dans l'ouvrage foisonnant d'Alain Martin, Krzysztof Kieslowski encore plus loin, aux Éditons IrenKa.



http://www.lefigaro.fr/cinema/2012/08/28/03002-20120828ARTFIG00551-kieslowski-ou-le-souci-de-la-verite.php




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MessageSujet: Re: KRYSZTOF KIESLOWSKI   KRYSZTOF KIESLOWSKI EmptyLun 3 Sep - 19:13

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Lundi 03 septembre : la Nuit Kieslowski




KRYSZTOF KIESLOWSKI 19889411










À l’occasion de l’exposition « Le monde selon Krzysztof Kieślowski » soutenue par TV5MONDE et présentée au MK2 Bibliothèque à Paris du 29 août au 30 septembre 2012 l, a chaîne internationale francophone programme « La Nuit Kieślowski » le lundi 03 septembre et diffuse «Trois couleurs», la célèbre trilogie du cinéaste polonais.




21h00 : « TROIS COULEURS : BLEU »




KRYSZTOF KIESLOWSKI Trois-10


Réalisation : Krzysztof Kieślowski, 1993
Distribution : Juliette Binoche (Julie), Benoît Régent (Olivier), Hélène Vincent (la journaliste), Charlotte Véry (Lucille), Philippe Volter (l’agent immobilier), Florence Pernel (Sandrine), Emmanuelle Riva (la mère)
Genre : comédie dramatique
Pays : France / Pologne / Suisse - Format : 100’



Palmarès : Lion d’or et Meilleure actrice à la Mostra de Venise en 1993, 3 César (meilleure actrice, meilleur son et meilleur montage) en 1994.


Après la mort de son mari, un grand compositeur, et de sa fille unique, Julie tente de se construire une nouvelle vie.
Elle reprend son nom de jeune fille, met sa maison en vente et détruit l’œuvre inachevée de son mari. Olivier, amoureux d’elle, tente de la sortir de son isolement.





Trois couleurs : Bleu - Bande annonce vf par CineMovies.fr






22h35 : « TROIS COULEURS : BLANC »




KRYSZTOF KIESLOWSKI Trois-11



Réalisation : Krzysztof Kieślowski, 1994
Distribution : Julie Delpy (Dominique), Zbigniew Zamachowski (Karol), Juliette Binoche (Julie), Jerzy Stuhr (Jurek)
Genre : comédie dramatique
Pays : France / Pologne / Suisse - Format : 100’


Palmarès : Ours d’Argent du meilleur réalisateur à Berlin en 1994.

Après avoir divorcé de Dominique, Karol se retrouve sans le sou et décide de retourner en Pologne, son pays natal. Il y parvient dans des circonstances assez rocambolesques.
Toujours amoureux, il échafaude un plan à distance pour regagner l'amour de son ex femme...











00h15 : « TROIS COULEURS : ROUGE »




KRYSZTOF KIESLOWSKI 19001511



Réalisation : Krzysztof Kieślowski, 1994
Distribution : Irène Jacob (Valentine), Jean-Louis Trintignant (juge Joseph Kern), Juliette Binoche (Julie), Julie Delpy (Dominique), Jean-Pierre Lorit (Auguste), Marion Stalens (le chirurgien), Samuel Le Bihan (le photographe)
Genre : comédie dramatique
Pays : France / Pologne / Suisse- Format : 96’



Palmarès : Meilleur film étranger aux BAFTA 1995, Meilleure musique aux César 1995, sélection officielle à Cannes en 1994.




Valentine, étudiante et mannequin, écrase un chien. Elle rapporte l’animal blessé à son propriétaire, un juge à la retraite. Aigri, l’homme passe ses soirées à espionner les conversations téléphoniques de ses voisins. Leur relation d’abord très conflictuelle évolue progressivement en une profonde amitié.




http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/programmes/p-22680-Lundi-03-septembre-la-Nuit-Kie-lowski.htm





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