LA PREMIERE QUI A DIT OUI A LA TOURNEE :
Michele Torr
40 ans d'amour...
7 avril 1947, naissance de Michèle TORR à Pertuis dans le Luberon.
Mais c'est à Courthézon où elle grandit que, petite elle donne des couleurs aux mots et surtout les chante. Elle fait ses premiers pas sur scène à six ans ; étudie le chant Avec Mme Viaud ; participe et gagne tous les concours de sa région.
« Des personnes m'ont donné envie de chanter : ma mère et Édith Piaf » confit-elle.
Sa belle histoire commence à Avignon ou elle remporta à 14 ans le premier prix d'un radio crochet : 120 Francs et une première partie d'un récital de Jacques Brel au palais des papes en Avignon.
Marquée et émue par la voix de Piaf , bouleversée par Brel, soutenue par sa mère passionnée de chansons et par son père facteur, Michèle poursuivit son chemin avec détermination. Accompagné de son professeur de chant, elle « monte » à Paris en 1963, auditionné chez Philips en interprétant « Exodus ».
Discographie :
70 disques 45 tours - 30 albums - 22 CD
10 singles - 420 chansons enregistrées
30 millions de disques vendus dans le monde un disque de platine : « Michèle TORR à l'Olympia 83 »
30 disques d'or !
C'est en octobre 1963, à 16 ans, que Michèle, entourée de Clémente et Charles TORR ses parents, et Brigitte sa petite sœur, signe son premier contrat chez Mercury. Le jour même disparaît la môme Piaf ...
Trois mois plus tard, le 13 janvier 1964, son premier 45-tours « c'est dur d'avoir 16 ans » et puis le deuxième « dans mes bras oublie ta peine ». Elle accède au hit-parade, est classée chouchou à salut les copains, émission mythique des jeunes de l'époque.
Le public adopta tout de suite cette nouvelle artiste et dès lors Michèle TORR enchaîne les succès.
Elle est choisie pour représenter le Luxembourg à l'Eurovision en avril 66 avec « ce soir je t’ attendais » et défend en 77 les couleurs de la principauté de Monaco avec « une petite française ». En 1972 elle change de maison de disque et signe chez AZ. Ces rencontres avec Jean Albertini, Sylvain Garcia, Pierre Delanoë, Didier Barbelivien, François Bernheim, tous auteurs et compositeurs à succès, offrent à Michèle des textes et des mélodies qui font de l'artiste populaire, incontournable, de la chanson française. Les tubes s'enchaînent : « qu'une vague bleue » (74), « je m'appelle Michèle » (76), « une petite française » (77), « emmène-moi danser ce soir » (78) (3 millions d'exemplaires vendus !), « Discomotion » (79), « j'en appelle à la tendresse » (81), « à faire pleurer les femmes » (81), « Midnight blue en Irlande » (83)...
De nombreuses versions étrangères sont éditées notamment en japonais, en espagnol, en allemand, en italien, en anglais.
Membre de la SACEM, elle signe régulièrement à titre d'auteur quelques-uns de ses textes. Des histoires de sa vie, d'amour, que son public partage avec elle. Michèle devient productrice. Depuis 1996, elle s'octroie plus de liberté et produit toute sa discographie dont les albums « seules », « portrait de scène », « donner », « c'est d'amour » ainsi que ses spectacles. 2004, c’est l’année de ses 40 ans de chansons. Pour fêter ces 40 ans d'amour elle enregistre 16 titres de celle à qui elle veut avec évidence rendre hommage : Édith Piaf, et sort l'album « c'est d'amour ». La scène : De théâtre en zénith, en palais des congrès, 5000 concerts à travers le monde - 10 pays parcourus et son 10e Olympia en 2005.
Michèle TORR fait sa première tournée d'été, en 1964 avec « le golf Drouot » et puis avec Claude François. Depuis lors, la scène c’est chez elle.
Recordwoman avec plus de 250 concerts par an dans les années 70 et 80 à la rencontre de son public.
Du Japon au Canada, du Brésil à la Tunisie, en Belgique, en Suisse, en Hollande, en Italie, en Bulgarie, au Liban, en Allemagne, en Espagne, sur toutes les scènes du monde elle triomphe.
En 1970, elle participe au festival du Japon et remporte le Grand prix d'interprétation de la chanson française. Elle enchaîne avec une tournée de deux mois et reçoit un accueil sans égale du public nippon.
En 1971, c'est au Brésil et qu'elle défend une chanson de Charles Dumont « rire ou pleurer » au Festival de Rio en présence du roi Pelé au Grand stade Maracana devant un parterre de 100 000 personnes.
Premier Olympia en 1964, ou elle lève le rideau du spectacle de Claude François, et en 1970 est en première partie d'Enrico Macias.
Février 1980, c'est l'événement ! En vedette à l'Olympia, Michèle TORR triomphe chaque soir et chante à guichet fermé pendant un mois. Elle retrouve cette salle mythique en 1983 - 1986 - 1996 - 1998 - 2002 - 2003 (sortie à l'occasion de son premier DVD) et pour la dixième fois en mars 2005.
Sur les routes, toutes les semaines, elle passe beaucoup de temps en voiture pour rejoindre chaque année, les scènes de ses 80 concerts en France et à l'étranger. Une aventure que Michèle partage de puis toujours avec ses musiciens et ses heureux spectateurs qui la remercient par leur fidélité.
Avec sa présence, son talent, ses magistrales interprétations a cappella, sa voix claire, éclatante, avec ce rien de modulations rauques qui apportent une sensualité douce et prenante elle conquit tous les publics en 2 heures de tour d'émotion.
La scène c'est l'espace où la pudeur la quitte pour faire don d’elle-même, don de son art et prendre le plaisir physique de donner tout simplement.
« Elle a le visage d'un ange et la voix du diable. Cette voix si particulière, à la fois langoureuse, caressante et puissante, aux accents rauques et veloutés, à la tonalité douce-amère qui émane des tréfonds de son être. Michèle TORR possède une attraction presque animale qui vous prend au ventre et vous donne le vertige dans une envolée quasi-mystique. Ce qui fait la force de cet artiste hors du commun, c'est sa personnalité, un mélange de fragilité et de glamour flamboyant. Elle est femme avant d'être interprète. Durant tout son concert « les notes caressent les mots, elle a le cœur au bord des lèvres, tendue vers les bravos ». Derrière son regard bleu acier, on devine ses fêlures. Au travers de ses chansons elle se livre, lentement, prudemment, doucement.
Avec une émotion bouleversante elle se paie même le luxe de reprendre le monumental « non je ne regrette rien » de la mythique Édith Piaf. Son interprétation de ce standard n’ayant d'ailleurs, dussent les esprits chagrins et les puristes hurler à l'hérésie, au sacrilège et au blasphème, rien à envier à l'original. Durant tout le spectacle, Michèle TORR montre qu'elle « aime son public jusqu'à la déchirure ». Elle a atteint l'inaccessible étoile, celle qui brille au firmament de l'amour et du talent, loin des comètes filantes et éphémères formatées pour des tubes d'un jour. Le public en transe,la clame par une « standing ovation » et essuie une larme. C'était un show d'une beauté, d'une grâce et d'une pureté rare, riche de toutes les émotions primales qui font l’être humain. « Il y avait dans ce rendez-vous quelque chose de divin ». « Michèle TORR Chanta l’amour, la passion, la rupture, le don de soi... Ce qui est sûr, c'est que ce brillant gala nous a été donné par une véritable star, et s'il y a dans ce mot un peu de paillettes, il y a surtout beaucoup d'amour. Si du jardin des cieux, au milieu des roses blanches, sa douce maman la regarde, elle a tout lieu d'être fière de sa fille... » (« Michèle TORR ou le triomphe de la sensualité » par Géraldine Calbete - centre France 2003.)
Les distinctions : Nommée en 1997 chevalier dans l'ordre des arts et des lettres par le ministre de la culture M. Philippe Douste-Blazy, c'est Line Renaud qui a le privilège de lui épingler sa médaille au nom du président de la république. Extraits du discours de Line « il est juste qu'on ait donné ton nom à ce symbole parfait de la beauté alliée à la pureté et la simplicité « une rose blanche » et qui orne les jardins de bagatelle » et ceux du parc du château de son village d'enfance Courthézon. Le 2 décembre 2002 Michèle TORR est élevée au grade d'officiers des arts et des lettres par le ministre de la culture Jean-Jacques Aillagon qui la salue comme étant « une bête de scène authentique inscrit dans le meilleur de la tradition de la chanson française ».
Ils ont dit... - « elle est née chanteuse, elle a une voix de toutes les époques » Maurice Chevalier.
« Elle chante juste, elle chante bien, elle est surtout passionnée par ce métier, et c'est quand même ce qu'il y a de plus important ! ! » Claude François.
« Quand j’ai vu Michèle TORR pour la première fois j'ai su que la chanson française avait à sa disposition un nouveau talent ! La route était peut-être plus longue que je ne l'aurais souhaité, mais, un jour ou l’autre « Ça devrait arriver ! » Bruno Coquatrix.
« La France compte quelques grandes dames de la chanson. Michèle et l'une d'elles. Sa voix émeut et l’émotion contagieuse atteint le public en plein cœur. Phénomène rarissime. Michèle TORR n'en finira jamais de séduire et de conquérir. Son charme opère, envoûte et retient. Quelle ambassadrice de notre chanson française » Pierre Delanoë.
Une femme... sensibilité, simplicité, sincérité, personnalité, authenticité, chaleureuse, drôle, atypique, instinctive, intuitive, impulsive, quelques mots pour définir l'artiste et la femme.
Ambassadrice de la Provence, elle aime y chiner les brocantes et trouver le nouvel objet qui prendra place dans sa maison. Elle aime la décoration, restaurer la maison, changer les meubles de place.
Très croyante et avec une grande ouverture d'esprit elle apporte aussi un intérêt à toutes les religions.
La musique et le chant occupe sa vie depuis toujours, mais les grands bonheurs de sa vie s'appelle Romain, Émilie, ses enfants et Charlotte, Samuel, les enfants de son fils. Ses petits-enfants, ces petits Loulou, comme tendrement elle les appelle.
2005 - éternelle interprète de l'amour Michèle TORR sorti son 53e album « Michèle TORR en concert » dont 2 titres sont écrits par Henri Salvador.
Michele TORR a été la 1ère à accepter le projet et le concept AGE TENDRE ET TETES DE BOIS…