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Sujet: ONE SHOT NOT Saison 2 Mer 21 Jan - 21:57
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. One Shot not saison 2 ! La saison 2 de One Shot Not commence le 31 janvier sur Arte . Au programme, jazz, pop, rock, boeufs, mélanges savants et impromptus, répétitions et performances, le tout sous l'oeil expert de Manu Katché
Au programme : Katie Melua, Marcus Miller, Keziah Jones, Pascale Picard, Robertson, Alela Diane...
Katie Melua A 23 ans, Katie a déjà vendu près de 9 millions d'albums. Elle est une des plus brillantes jeunes artistes de Grande-Bretagne, et sans aucun doute l’une des plus appréciées du public.
Pascale Picard Pascale Picard est acclamée comme la plus belle réussite de l’année 2007 au Canada, et la success-story continue en 2008 avec déjà plus de 250 000 albums vendus. Elle s’apprête à conquérir l’Europe avec son 1er album « Me, Myself & Us », sorti en France le 16 juin.
Robertson Le créateur de Bullfrog est de retour sur scène avec un nouvel album solo.
Marcus Miller Marcus Miller, bassiste d'exception, virtuose jamais démonstratif qui a su, mieux que quiconque dans les deux dernières décennies, transcender son rôle d'instrumentiste pour voir la vie en couleurs, pour donner au jazz, au funk et à la soul des allures et des airs plus (en)chantants.
Keziah Jones Keziah Jones était sortie de son studio il y a un an pour participer au premier tournage de One Shot Not. Il revient aujourd’hui avec son cinquième album baptisé « Nigerian Wood », clin d’oeil sensuel au Norwegian Wood des Beatles.
Alela Diane Alela Diane est la nouvelle révélation folk US. Cette californienne de 24ans, accompagnée par son père à la guitare livre un folk hanté et incroyablement juste, guitare lancinante et voix envoûtante.
Formation classique, Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, à l’origine le musicien Manu Katché est promis à la noble carrière de percussionniste au sein d’un orchestre symphonique. Probablement est-ce là l’une des causes du « son Katché » qui fait que son coup de baguette est reconnu entre mille par les mélomanes avertis. Un coup de baguette qui va le détourner du classique pour le mener au jazz puis au pop-rock. Très vite on le retrouve, musicien de scène et de studio, aux côtés des grands Français : Goldman, Souchon, Chedid, Catherine Lara, Michel Jonasz… mais il doit l’explosion de sa carrière à Peter Gabriel qui lui demande de tenir la batterie pour l’album « So ».
Immédiatement, le son très particuliers de ses drums le fait repérer par les stars du pop-rock et lui ouvre les portes des studios et grands scènes internationales. Ainsi va-t-il enregistrer pour Joni Mitchell, Sting, Dire Straits, Tears for Fears, The Christians, Robbie Robertson, Joan Armatrading, Paul Young, Tracy Chapman, Youssou N’Dour, Pino Danielle, Simple Minds, Joe Satriani, Richard Wright… sans bouder pour autant ses camarades francophones puisqu’il retrouve entre deux Véronique Sanson, Francis Cabrel, Laurent Voulzy, Stephan Eicher, Michel Petrucciani...
Côté reconnaissance officielle, les choses vont bon train : première Victoire de la Musique pour « Meilleurs arrangements » en 86, seconde Victoire en 87 au titre de « Meilleur musicien de studio » ; sacré « Best coming up drummer of the year » la même année par « Modern Drummer », il engrange sa troisième Victoire de la Musique en 1996 pour la B.O. du film « Un Indien dans la ville ».
En 96, c’est le Drum Festival de Montréal qui lui décerne un award, puis en 2004 c’est au tour de notre Ministre de la Culture de l’inscrire à l’ordre de Chevalier des Arts et Lettres… En dernier lieu sa création musicale pour le Musée Grévin et bientôt son effigie en cire confirme la notoriété de l’authentique personnage qu’est Manu Katché.
Salué, récompensé, autant comme musicien exceptionnel que compositeur de talent, il ne renonce jamais pour autant à ses premières amours : le jazz. En témoigne la création de son groupe « Manu Katché Tendances » avec lequel il entreprend des tournées internationales, son appétit pour le « jazz nordique » du saxophoniste norvégien Jan Garbarek et son tout dernier album, "Neighbourhood", édité chez la mythique maison de disques de Manfred Eicher : ECM Records. .....................
Manu Katché - “J’invite des artistes qui ont des choses à se dire”
Comment avez-vous conçu cette nouvelle édition de One Shot Not ?
J’ai choisi un plateau resserré. Je voulais que le public soit très proche des artistes, comme cela se passe dans les clubs de jazz ou en studio, qu’il puisse capter les sourires, les regards, les petits aléas, et que cela crée des interactions avec les musiciens. On ne joue pas pareil dans une petite salle ou devant des milliers de personnes. Nous avons aussi volontairement réduit le nombre d’artistes afin qu’ils aient le temps de s’installer, de définir leur univers. Cela incite-t-il les musiciens à faire le bœuf ? Oui, j’ai remarqué que le format de l’émission leur procure un sentiment de “frustration positive”. Après les répétitions de la journée, leur prestation est filmée d’une seule traite, un peu comme un mini-concert. Sauf problème technique, il n’y a pas de deuxième prise. J’espérais, sans vouloir l’imposer, que ce contexte inciterait les musiciens à faire une jam session. Et c’est ce qui s’est produit ! Je leur suis très reconnaissant de ce cadeau. Nous avons aussi apporté un soin particulier au son ; en clair, je me suis entouré de professionnels habitués à faire de la scène, des gens que je connais bien. Ils réagissent vite, car cela va très vite, sans panique, savent s’adapter aux styles les plus différents.
Quels genres d’artistes avez-vous envie de recevoir dans One Shot Not ?
En tant que batteur, je me suis mesuré aussi bien au jazz qu’à la pop-rock ou à la variété. La programmation sera à l’image de mon parcours, éclectique, pop ou rock, donc, mais aussi jazz, folk-rock, hip hop, R&B, no limit en somme…
J’invite des musiciens que j’apprécie et, qui, d’après moi, ont des choses à se dire, même s’ils n’appartiennent pas aux mêmes familles musicales. Exemple : parce que je connais son parcours, traversé d’influences soul et pop, je savais par exemple qu’un saxophoniste de jazz comme Stefano Di Battista aurait envie d’explorer l’univers musical singulier de Keziah Jones. Le résultat fut étonnant. Et c’est ce qu’on essaye de reproduire à chaque fois. Il semblerait que, souvent, on y arrive d’où notre attachement à cette aventure musicale, et l’authenticité, non simulée, que les téléspectateurs y trouvent. ....................................................
liliane Admin
Nombre de messages : 19569 Age : 50 Localisation : dans la galaxie Date d'inscription : 02/05/2008
Sujet: Re: ONE SHOT NOT Saison 2 Mer 22 Déc - 12:11
Le retour de One shot not avec Manu Katché le 16 janvier
L'émission musicale One shot not se ballade de case en case au fil des saisons, sur Arte. Prochaine case attribuée : celle du dimanche soir vers 23h30, avec une rediffusion le samedi suivant à 13 heures. Une semaine sur deux, sélection de moments des trois précédentes saisons. Manu Katché et Alice Tumler restent aux commandes de ce divertissement musical où les artistes chantent et jouent en live.
Les invités de la première le 16 janvier 2011 :
Suzanne Vega
La plus gracieuse des folk singers revient aux sources avec Close up, sorte de best of acoustique en quatre volumes dont les deux premiers (Love songs et People & places) viennent de paraître.
Ben Sidran
Électron libre dans le monde du jazz, à la fois pianiste, chanteur, compositeur, musicologue, producteur de radio et de télévision, Ben Sidran a sorti en 2009 un album intitulé Dylan different, qui revisite le répertoire de Bob Dylan.
Anna Calvi
C’est une performeuse hors norme, digne héritière de PJ Harvey et de Jeff Buckley. Découvrez en avant-première les volutes violentes et charnelles d’Anna Calvi, dont le premier album sort le 17 janvier.
The Jolly Boys
Depuis soixante-dix ans, les Jolly Boys sont les maîtres du mento, l’ancêtre du reggae. Les papys jamaïcains dépoussièrent le genre avec Great expectation, un album mêlant chansons traditionnelles et reprises d’Iggy Pop, Lou Reed, Amy Winehouse…
Manu Katché indique que pour les performances live, en plus des caméras qui offrent une vision globale du plateau et des plans serrés sur les artistes, il y en aura une qui permet de cadrer un point précis, par exemple les doigts d’un guitariste jouant un solo, tout en conservant le plan d’ensemble en fond d’écran. "C’est un plus. En revanche, nous avons abandonné l’idée de conclure l’émission avec un artiste et de le retrouver la semaine suivante en ouverture, à la manière d’un feuilleton. Pour la postproduction c’était compliqué et ça manquait un peu d’authenticité. Nous conservons bien sûr les répétitions, les coulisses, les performances live avec un son de qualité studio. Lors des prochains enregistrements, j’ai le projet d’installer un coin tranquille, où Alice Tumler pourra interviewer les artistes dans une intimité plus propice aux échanges".
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