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 L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART

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Nine
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MessageSujet: L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART   L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART EmptyMar 13 Jan - 12:49

UN ADIEU A Mr Claude Berri



Claude Berri est sans conteste l’un des plus grands hommes de l’histoire du cinéma français. Son œuvre compte plus de soixante longs et courts métrages dont il a assuré la réalisation ou la production. Il a joué dans près d’une trentaine de films depuis le commencement de sa longue carrière, au début des années cinquante.

Né à Paris le 1er juillet 1934, son père, juif ashkénaze d’origine polonaise, et sa mère roumaine, prédestinent Claude Berel Langmann à poursuivre dans l’affaire familiale de la fourrure. Le Passage du Désir , dans le dixième arrondissement de Paris, est le théâtre d’une enfance qu’il va s’employer plus tard à raconter à travers plusieurs de ses réalisations cinématographiques.

Mais le jeune Claude ne l’entend pas vraiment de cette oreille et tient à faire coûte que coûte son chemin dans le théâtre. C’est ainsi qu’il entre au cours Simon pour s’adonner librement à sa vraie passion, la scène.

Approchant la vingtaine, il fait ses premières apparitions sur les planches sous la direction de metteurs en scènes comme Jacques Pierre , Jacques Ruisseau ou François Billetdoux .

Il joue par la suite dans les pièces : Tchin-Tchin, mise en scène par François Darbon en 1959 et plus tard dans Les Petits Renards de Lillian Hellman et mise en scène par Pierre Mondy .

Ses débuts prometteurs, illustrés notamment par sa victoire au concours, Naissance d’une Etoile, dans la catégorie comédiens, poussent Claude Berri à chercher, dans les années soixante, à se lancer dans la production théâtrale.

Pourtant, sa première tentative dans ce sens échoue. Le Comportement des époux Bradbury , de François Billetdoux, ne récolte effectivement pas les résultats espérés par le tout nouveau producteur.

Qu’à cela ne tienne, Claude Berri n’est pas homme à baisser les bras devant le premier obstacle venu. Il décroche des petits rôles dans quelques films de réalisateurs de renom, à l’image de Jacques Becker qui le prend pour apparaître dans Rue de l’Estrapade en 1953 , de Jean Renoir pour French Cancan ou encore d’ Henri-Georges Clouzot dans La Vérité . Fort de cette expérience d’acteur de cinéma, Berri décide de s’engager cette fois-ci dans la réalisation.

A vingt-huit ans, Claude Berri réalise le court métrage Le Poulet . Le film, avec l’acteur Jacques Marin , connaît un véritable succès et décroche des prix aux Oscars et à la Mostra de Venise.

Il réalise par la suite son premier long métrage, en grande partie inspiré de sa vie. Nous sommes en 1966, et le film s’appelle Le Vieil homme et l’Enfant . Les critiques favorables qui l’accompagnent convainquent Claude Berri à poursuivre dans cette veine autobiographique. Avec des titres tels que Le Cinéma de Papa en 1970 , ou Le Pistonné (dans lequel joue Coluche ), La Débandade (1999) et L’un reste, l’autre part (2004), le cinéaste traite de certains aspects, plus ou moins heureux de son existence. Le film Je vous aime survient en 1980 après sa douloureuse rupture avec sa première épouse Anne-Marie Rassam, dont le décès le plongera dans une période extrêmement difficile. Leur fils, l’acteur Julien Rassam , perdra lui aussi la vie en se suicidant, ne supportant plus la paraplégie qui l’affecte depuis une chute.

Claude Berri, fort d’une bonne vingtaine de films, ne compte pas pour autant s’en tenir à la réalisation. En homme de cinéma complet, il se dit qu’il a l’expérience et les moyens nécessaires pour produire ses propres films. Ce sera chose faite avec la création de Renn Productions , qui compte aujourd’hui à son actif plus d’une quarantaine d’œuvres cinématographiques.

L’aventure commence en 1970 avec L’Enfance nue , de Maurice Pialat . Suivent ensuite des films devenus cultes avec le temps, tels que le sulfureux : Je t’aime, moi non plus de Serge Gainsbourg en 1976, ou encore Banzaï de Claude Zidi en 1983 pour en n’en citer que quelques uns. Berri repasse à l’occasion derrière la caméra pour des films au budget parfois colossal: l’adaptation de l’œuvre de Zola : Germinal , avec Gérard Depardieu et le chanteur Renaud en fait partie. Il est aussi derrière plusieurs succès populaires, comme Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre qui réunit la bande loufoque à Alain Chabat ; Ensemble c’est tout tiré du best-seller éponyme d’ Anna Gavalda , ou encore Bienvenue chez les Ch’tis , le film de Dany Boon qui a pulvérisé en 2008 tous les records de fréquentation.

Soucieux de défendre une certaine idée du cinéma français, Berri tient également à produire des films d’auteur, comme Ma femme est une actrice d’ Yvan Attal , le controversé Amen de Costa-Gavras ou plus récemment, le multi-Césarisé La Graine et le Mulet d’ Abdellatif Kechiche . En pleine cérémonie de remise des trophées, le cinéaste franco-tunisien, tout ému, le qualifie de père spirituel .

Ce touche-à-tout du septième art est un habitué des hommages. Déjà en 1984, Coluche avait annoncé la couleur en déclarant : "Comme tout le monde, je remercie Claude Berri". En 2003, il est élu par ses pairs Président de la Cinémathèque Française et fait la même année l’objet d’un documentaire- clin d’œil au personnage de F. Scott Fitzgerald intitulé : Claude Berri, le dernier nabab.

Claude Berri nous réserve encore quelques surprises pour les mois à venir. Sa dernière production : L’ombre des autres d’ Eric Barbier est attendue de pied ferme par les fans de Mylène Farmer qui en est l’interprète principale.

Mauvaise nouvelle pour le milieu du cinéma: dans la nuit du 10 au 11 janvier 2009, Claude Berry est hospitalisé dans un service neurologique, dans un état grave, suite à un hématome intracranien. Le 12 janvier, Claude Berri décède des suites de son accident vasculaire cérébral.

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source :
http://www.premiere.fr/Star/Claude-Berri

les chaînes ont décidé de bouleverser leurs programmes pour lui rendre hommage. Info-télé.fr vous communique la liste non-exhaustive de ces changements.

- Paris Première rediffuse mardi à 23h35 l’interview de Claude Berri à Paul Amar dans l’émission Recto Verso en 2003. L’émission sera suivie d’une rediffusion d’un dîner au Faubourg Saint Honoré de Thierry Ardisson en compagnie de Claude Berri en 2004.

- France 4 diffusera mercredi à 22h45 le film Tess réalisé par Roman Polanski et que Claude Berri avait produit.

- Jeudi à 20h35, France 3 proposera Lucie Aubrac qu’il avait réalisé en 1997 avec Carole Bouquet, Daniel Auteuil et Patrice Chéreau. A 20h40, Paris Première proposera Je Vous Aime que Claude Berri avait réalisé en 1980.

De son côté, France 2 proposera à 22h45 Le Cinéma de Papa dans lequel Claude Berri joue en plus de l’avoir réalisé.

- Canal , samedi, à 11h50, lui rend hommage dans L’hebdo cinéma en compagnie de Kad Merad et de Guillaume Canet mais aussi avec des reportages sur son parcours.

- Lundi prochain, Arte diffuse à 20h45 son film Uranus réalisé en 1990.


flower


C'est Marc-Olivier Fogiel qui a recueilli les émotions et les mots de Nathalie Rheims (compagne de Claude Berri) au cours d'une interview dont l'intégralité a été transmise ce matin dans Forcément sur Europe 1. Revenant sur la force de caractère de cet homme passionné, curieux et qui "fonctionnait entièrement à l'instinct", elle a évoqué le dernier tournage de Claude Berri, en qui elle voyait un "détecteur d'être humain" qui "sentait les choses".
voilà le lien pour écouter :

http://www.purepeople.com/article/nathalie-rheims-raconte-claude-berri-sa-vie-et-ses-derniers-jours-ecoutez-son-interview-integrale-reactualise_a22849


Dernière édition par Nine le Mar 13 Jan - 18:42, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART   L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART EmptyMar 13 Jan - 12:55

un article extrait du journal le Monde :

Le réalisateur et producteur de cinéma Claude Berri est mort, lundi 12 janvier au matin, des suites "d'un accident vasculaire cérébral" à l'âge de 74 ans à l'hôpital de la Salpêtrière, à Paris, où il avait été admis dans la nuit de samedi à dimanche, a annoncé dans l'après-midi son agent. "Il était en train de réaliser avec François Dupeyron Trésor, une comédie avec Mathilde Seigner et Alain Chabat", son "vingtième film en tant que réalisateur, qui se poursuivra malgré sa disparition", a précisé son agent dans un communiqué.


Dans la nuit de samedi à dimanche, l'hôpital de la Salpêtrière avait annoncé que M. Berri avait été admis dans son service de réanimation chirurgicale. Dimanche après-midi, l'établissement avait indiqué que l'"état neurologique" du célèbre producteur de cinéma était "très sévère" et qu'il souffrait d'un "hématome intracrânien". M. Berri avait déjà été victime d'un accident vasculaire cérébral en 2006.

Grande figure du cinéma en France, Claude Berri a récemment produit Bienvenue chez les Ch'tis, de Dany Boon, plus gros succès français au box-office avec plus de 20 millions de spectateurs. Outre de nombreux succès populaires, il a aussi produit Tess, de Roman Polanski, et La Reine Margot, de Patrice Chéreau, ainsi que des films d'Eric Rohmer, Maurice Pialat, André Téchiné, Jean-Jacques Annaud, Claude Zidi, Alain Chabat, Les Inconnus ou Costa-Gavras.

Auteur de plusieurs œuvres à coloration autobiographique (Le Vieil Homme et l'Enfant), il a connu le succès en réalisant Tchao Pantin, qui a valu à Coluche le César du meilleur acteur en 1984, ou encore Manon des sources et Jean de Florette, tirés de l'œuvre de Marcel Pagnol.

Né Claude Langmann à Paris en 1934, ce producteur autodidacte, fils d'un fourreur, a pris le nom de Berri. Grand amateur et collectionneur d'art, il a ouvert en mars à Paris un lieu dévolu à l'art contemporain, l'Espace Claude Berri. Son fils, Thomas Langmann, a récemment produit L'Ennemi public N°1 et L'Instinct de mort, films sur la vie de Jacques Mesrine, et a réalisé et produit Astérix aux Jeux olympiques.
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MessageSujet: Re: L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART   L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART EmptyMar 13 Jan - 17:54

Filmographie en tant que producteur

1967 : Marie pour mémoire,de Philippe Garrel - producteur associé
1968 : Oratorio for Prague court-métrage documentaire de Jan Nemec
1970 : L'Enfance nue de Maurice Pialat
1973 : Pleure pas la bouche pleine de Pascal Thomas
1976 : Je t'aime… moi non plus de Serge Gainsbourg - (co-producteur)
1979 : Tess de Roman Polanski
1980 : Inspecteur la Bavure de Claude Zidi
1982 : Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ de Jean Yanne
1983 : L'Africain de Philippe de Broca
1983 : Banzaï de Claude Zidi
1983 : La Femme de mon pote de Bertrand Blier
1983 : Garçon ! de Claude Sautet
1985 : Les Enragés de Pierre-William Glenn
1987 : Hôtel de France de Patrice Chéreau
1988 : À gauche en sortant de l'ascenseur d'Édouard Molinaro
1988 : L'Ours de Jean-Jacques Annaud
1988 : Trois places pour le 26 de Jacques Demy
1988 : La Petite Voleuse de Claude Miller
1992 : L'Amant de Jean-Jacques Annaud
1993 : Une journée chez ma mère de Dominique Cheminal
1994 : La Reine Margot de Patrice Chéreau
1994 : La Séparation de Christian Vincent
1995 : Gazon maudit de Josiane Balasko - (producteur exécutif)
1996 : Le Roi des aulnes (Der Unhold) de Volker Schlöndorff - (producteur exécutif)
1997 : Didier d'Alain Chabat
1997 : Arlette de Claude Zidi
1997 : Le Pari de Didier Bourdon et Bernard Campan
1998 : Mookie d'Hervé Palud - (producteur associé)
1999 : Astérix et Obélix contre César de Claude Zidi
1999 : Mauvaise passe de Michel Blanc
2001 : La Boîte de Claude Zidi
2001 : Ma femme est une actrice d'Yvan Attal
2002 : Amen. de Costa-Gavras
2002 : Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre d'Alain Chabat
2003 : Le Bison (et sa voisine Dorine) d'Isabelle Nanty
2003 : Les Sentiments de Noémie Lvovsky
2004: San-Antonio de Frederic Auburtin
2007 : La Graine et le Mulet d'Abdellatif Kechiche
2008 : Bienvenue chez les Ch'tis de Dany Boon etoile scintillante
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MessageSujet: Re: L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART   L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART EmptyMar 13 Jan - 17:57

GEORGES CRAVENNE : UN HOMME DE COMMUNICATION
L'ADIEU DES DERNIERS NABABS DU 7e ART 20090110


Découvrez Valentina Igoshina!


Journaliste, Créateur de l'Académie des arts et techniques du cinéma : Les César
(France)
Né(e) le 24 Janvier 1914
Décédé(e) le 10 Janvier 2009

Georges Cravenne est l'un des pionniers des relations publiques en France. Il est surtout connu pour avoir créé les César du cinéma, les récompenses les plus prestigieuses du 7ème français.

Georges Cravenne, né Joseph, Raoul Cohen le 24 janvier 1914 à Kairouan (Tunisie), avait créé en 1975 l'Académie des arts et techniques du cinéma, qui devait décerner dès l'année suivante les César pour le meilleur film, meilleur acteur... Il en était resté secrétaire général jusqu'à l'âge de 90 ans.
Il avait également mis en scène, pour l'Association Professionnelle et Artistique du Théâtre, les premiers Molière du théâtre, puis Les 7 d'Or pour les producteurs de la télévision.

Georges Cravenne a organisé de grandes soirées de promotion dans les années 1950-1960, dont l'inauguration de l'Odéon-Théâtre de France, en présence du Général de Gaulle, ou un gala exceptionnel à l'Opéra où il a fait chanter pour la première fois à Paris la Callas. Par ailleurs, il lancera la grande majorité des films de Jean Renoir, René Clair, Henri-Georges Clouzot, Otto Preminger, Henri Verneuil, Jean Gabin, Brigitte Bardot ou Yves Montand - Simone Signoret. Il a lancé tous les grands films des années 1950, 60, 70 comme La Grande Vadrouille ou Le Corniaud.

Georges Cravenne avait débuté dans le journalisme en 1935 à Ciné-Magazine, dont Marcel Carné était rédacteur en chef. Il travaillera ensuite à Paris-Soir avec Pierre Lazareff, où il crée la rubrique cinéma.
Après la guerre, il sera l'un des acteurs de la réhabilitation du Lido, le cabaret des Champs Elysées, avant de créer la première agence de relations publiques et de devenir l'ami du "tout-Paris".

Georges Cravenne avait été élevé à la dignité de Grand officier de la Légion d'honneur par le président Nicolas Sarkozy en 2008.
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superstar chez les stars
Jean-Claude Lamy

Georges Cravenne créa les Césars en s'inspirant des Oscars.

Le roi des relations publiques s'est éteint à l'âge de 94 ans.

Il aimait les stars et il en était une lui-même. Disparu à l'âge de 94 ans, Georges Cravenne a fréquenté le gotha cultuel et artistique qu'il connaissait depuis des décennies. Au point de devenir de son vivant une légende des relations publiques. Né le 24 janvier 1914 à Kairouan (Tunisie) Joseph Raoul Cohen imposa sa personnalité en étant ad vitam aeternam le Georges Cravenne des grandes soirées parisiennes.

La plupart des galas et des premières de cinéma portaient sa griffe. À sa façon, faite d'élégance, de courtoisie et d'entregent, il devint le Monsieur Loyal des vedettes qui se donnent en spectacle. De son temps, on ne parlait pas de people, mais les monstres sacrés se laissaient approcher sous le regard de ce professionnel de la mise en scène sans caméra. Fondateur en 1975 de l'Académie des arts et techniques du cinéma, il s'inspirera de la cérémonie des Oscars pour lancer celle des Césars. Les 7 d'or de la télévision, les Victoires de l'entreprise et les Molières du théâtre sont aussi des créations de Georges Cravenne.

Cette passion pour les acteurs, il la communiquera d'abord à ses lecteurs. Ayant débuté dans le journalisme à Ciné Magazine (1931-1933), puis au service spectacles de Paris Soir (1934-1939), il sera après-guerre chef des services parisiens de L'Intransigeant (1945-1947). À Paris Soir, Georges Cravenne croisa un autre Rouletabille, Pierre Lazareff, qui lui donnera de sacrés coups de pouce lorsque ce dernier deviendra le patron de France Soir.

Je me souviens de leurs amicales connivences lorsque je collaborais aux « Potins de la commère », la rubrique de Carmen Tessier. Les soirées organisées par Georges Cravenne étaient mises en lumière sous les projecteurs du quotidien de la rue Réaumur. « Pierrot les bretelles », surnom de Lazareff, friand de potins, veillait à ce que le travail de Georges soit réper cuté dans la fameuse colonne d'échos. Le roi ou le pape - comme on voudra - des relations publiques, qui épousera Françoise Arnoul, était sur tous les fronts du Tout-Paris, qu'il transportait parfois en charters de luxe.

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