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 ARLES : 40 ans d'histoires photographiques

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Bridget




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MessageSujet: ARLES : 40 ans d'histoires photographiques   ARLES  : 40 ans d'histoires photographiques EmptyMar 7 Juil - 1:45

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Arles : 40 ans d'histoires photographiques


Pour célébrer leur 40e anniversaire, les Rencontres internationales de la photographie d'Arles présentent 60 expositions et de nombreux événements, du 7 juillet au 13 septembre.


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Les Rencontres d'Arles, entre tradition et transgression


Lundi 06 juillet 2009 .

Les Rencontres d'Arles démarrent mardi. Pour cette 40e édition, la tradition, avec le doyen des photographes Willy Ronis, contraste avec la transgression incarnée cette année par le retour de Nan Goldin et de ses clichés new-yorkais.



AFP - Les Rencontres photographiques d'Arles qui démarrent mardi, célèbrent leurs 40 ans en accueillant le "doyen des photographes" Willy Ronis, 98 ans, l'éditeur Robert Delpire et faisant revenir Duane Michals ou Nan Goldin pour une édition "entre mémoire et projets".

La manifestation, qui présente du 7 juillet au 13 septembre une soixantaine d'expositions, est placée sous le thème de "40 ans de Rencontres, 40 ans de ruptures", dit dans sa présentation le directeur des Rencontres François Hebel.

Ce thème permet ainsi de "réunir des amis qui ont permis cette aventure" tout en exposant des photographes dont le "travail a créé le débat lors de leur présentation à Arles, en s'éloignant des académismes de l'époque", dit-il.

Les 40 ans de Rencontres accueilleront ainsi Willy Ronis, le photographe humaniste qui fêtera au mois d'août ses 99 ans, "le doyen de nos photographes qui n'a pas bénéficié d'exposition importante sur son oeuvre depuis longtemps", selon M. Hebel. Une sélection de 80 de ces photographies sera présentée.


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Place Vendôme, 1947 © Willy Ronis
Willy Ronis (France)


L'éditeur Robert Delpire, créateur notamment de la petite collection noire "Photo-Poche", sera également invité pour une rétrospective de son parcours d'éditeur, de commissaire d'exposition et de producteur de films. Robert Delpire organisera lui-même un hommage à l'illustrateur André François.

Les derniers travaux de Lucien Clergue, arlésien et créateur du festival, seront présentés ainsi que des photos d'archives sur les Rencontres elles-mêmes, pour "se rappeler de ce qui reste le premier et le plus important des rendez-vous photographiques internationaux", disent les organisateurs.

Quinze anciens commissaires invités ou directeurs artistiques - le couturier Christian Lacroix, le photographe britannique Martin Parr, l'espagnol Joan Fontcuberta - parraineront un jeune photographe pour un prix Découverte.

La Bibliothèque nationale de France expose une partie de sa collection de photos et de textes sur les images.

L'Américaine Nan Goldin sera l'invitée spéciale des "40 ans de ruptures". Elle présentera des travaux personnels, sa propre collection de photos et accueillera le Français Antoine d'Agata, le suédois JH Engström ou l'Américaine Lisa Ross.



Sont aussi au programme une rétrospective de l'Américain Duane Michals et du Britannique Brian Griffin, les nouveaux travaux de Martin Parr et Joan Fontcuberta, un travail sur l'Amérique rurale et ses maisons abandonnées de l'Américain Eugene Richards.

L'Allemand Thomas Florschuetz présentera ses photos de l'ex-RDA alors que le Centre pour les droits civiques de Géorgie aux Etats-Unis expose la collection "tragique" qu'il vient d'acquérir, celle de photographies quelquefois transformées en cartes postales, de lynchages en Amérique.r

Au programme également, le Tchèque Bohdan Holomicek, ami et voisin de l'ex-président tchèque Vaclav Havel, dont il a suivi le parcours, les travaux des diplômés de l'Ecole nationale supérieure de photographie d'Arles créée en 1983, ceux des Français Denis Darzacq ou Bernard Faucon.

Le festival organise un colloque, des prix, des stages et des événements festifs, le tout dans un contexte budgétaire "fragile", selon les organisateurs. Son budget est de 3,8 million d'euros, 40% provenant de financements publics, 35% de la billetterie et 25% du mécénat.


Dernière édition par Bridget le Mer 8 Juil - 12:28, édité 1 fois
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Bridget




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MessageSujet: Re: ARLES : 40 ans d'histoires photographiques   ARLES  : 40 ans d'histoires photographiques EmptyMar 7 Juil - 2:05


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Nan Goldin, le miracle devrait se reproduire à Arles

En cette soirée de début juillet 1987, les 3 000 personnes assises dans le Théâtre antique d'Arles ont le bonheur ou l'effroi - c'est selon - de découvrir, sur grand écran, une projection de photos avec musique comme ils n'en ont jamais vu. Le titre intrigue : The Ballad of Sexual Dependency. La ballade de la dépendance sexuelle.


Son auteur a pour nom Nan Goldin, ce qui ne dit pas grand-chose au public. C'est la première fois que cette Américaine qui a alors 35 ans montre ses photos en France. Sa projection, elle la trimballe avec elle depuis 1978, dans les bars enfumés, les cinémas minables, des lieux alternatifs de New York.

Vingt-deux ans après, le 11 juillet, ce diaporama en musique sera redonné dans le même lieu, toujours dans le cadre des Rencontres photographiques d'Arles. Et ce sera une toute autre histoire

Car Nan Goldin est devenue une des rares stars de la photo au monde. Et cette ballade sexuelle, si elle a en partie fait son malheur dans la vie, a fait son triomphe dans l'art.

Il faut imaginer le choc. !!!!

Arles est le temple de la belle image. Et là, individuellement, les photos en couleur ne sont pas terribles. Ce sont des instantanés, avec un côté amateur, sauf que les sujets ne sont pas ceux qui animent les soirées diapos de papa. On voit bien que l'auteur a plus important à faire qu'à soigner son cadrage.

Ce qui défile sur l'écran, c'est la vie de Nan Goldin. Il y a beaucoup à raconter quand on quitte la maison à 14 ans, mais ce n'est pas toujours beau à voir. Sa jeunesse, ses amis, ses amours, ses douleurs. Sa famille qu'elle retrouve. La drogue, la violence, l'alcool, et beaucoup d'amour aussi. Le milieu homosexuel, le sida qui frappe nombre de ses amis.

Des autoportraits rythment la projection. Certains sont magnifiques d'apaisement, mettent en valeur sa chevelure bouclée et rousse, son visage fragile, son corps désirable. D'autres sont plus durs. Jusqu'à ce portrait qui saisit d'effroi le théâtre antique en plein été : Nan Goldin le visage ensanglanté par les coups de son amant.

Sur une autre photo, dominée par cette couleur ambrée et chaude qui est sa marque, Nan Goldin est couchée sur un lit alors que son amant, le corps massif et nu, fume une cigarette en l'ignorant. On se demande qui a pris la photo, si elle déclenche à distance, confie l'appareil à quelqu'un. Nan Goldin invente le journal intime en images. Elle parle d'elle mais elle évoque aussi une époque, une communauté marginale qui brûle sa vie dans les années 1970 et 1980 - la majorité des gens qu'on voit sur l'écran sont morts aujourd'hui. C'est aussi une oeuvre sur la guerre entre les hommes et les femmes.

S'il n'y a pas de paroles dans ce diaporama, on a pourtant l'impression d'assister à un film. Que Nan Goldin nous raconte une histoire qu'elle ne peut pas dire avec des mots. C'est dû au rythme, à l'ordre des photos. Mais aussi beaucoup à la musique. Là encore on n'a jamais entendu une musique qui fait autant vibrer les photos. Des chansons d'amour et de sexe Tu t'laisses aller, d'Aznavour, Fais-moi mal, Johnny, Johnny, de Boris Vian, James Brown, la Callas, Eartha Kitt, Nico... On comprend alors ce terme musical de ballade, qui joue sur la musique, le récit, le souvenir, les chemins de traverse.

A un moment, alors que le temps file vite tant nous sommes pris par la projection, un incident survient. A cette époque, la photo est argentique, ce sont des diapositives qui sont projetées. Tout à coup, les photos sautent hors de leur boîtier. Les techniciens n'arrivent pas à réparer. Le théâtre antique gronde, la projection est suspendue. Nan Goldin est blême.

ALLER BOIRE UN VERRE

François Hébel, le directeur du festival - c'est encore lui qui fait revenir Nan Goldin cette année - propose au public d'aller boire un verre sur la place du Forum, le temps de réparer. Vers minuit trente, le public revient. A la fin, l'ovation l'emporte sur les sifflets.

Cette projection arlésienne de 1987 est historique. Car c'est à ce moment, en ce lieu magique, qu'elle trouve son format quasi définitif : 45 minutes (contre 1 h 30 au début), plus de 700 images montées à l'avance alors qu'elle les projetait à la main, comme une performance. Chaque photo défile toutes les trois secondes sur un écran unique et carré. C'est aussi à partir d'Arles que cette projection en musique, support alors jugé ringard, va se répandre dans le monde de l'art contemporain.

La ballade est l'oeuvre de sa vie pour Nan Goldin, qui l'a présentée des centaines de fois, dans des musées et galeries du monde entier. Le sujet existe aussi en livre, dès 1986 (Aperture), mais il est bien plus fort sur le mur avec la musique. A Arles, cette année, le changement vient justement de la musique. Le groupe anglais Tiger Lillies jouera en direct, en regardant les images défiler, et en essayant de les suivre. Cette performance a déjà été donnée à la Tate Modern de Londres, il y a un an. Ceux qui seront dans le Théâtre antique auront de la chance.

Michel Guerrin


Nan Goldin "Invitée spéciale" aux Rencontres d'Arles 2009.

Projection de "The Ballad of Sexual Dependency" avec Tiger Lillies, Théâtre antique, samedi 11 juillet, 22 h 15. L'exposition "Soeurs, Saintes et Sibylles" et la collection de photos sont à voir à l'Eglise des Frères Prêcheurs.Ses invités sont exposés à l'Atelier de mécanique. Du 7 juillet au 13 septembre. Rencontres d'Arles. Tél. : 04-90-96-76-06.
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MessageSujet: Re: ARLES : 40 ans d'histoires photographiques   ARLES  : 40 ans d'histoires photographiques EmptyLun 13 Juil - 17:20

Frédéric Mitterrand annonce la création d'un Centre de la photographie patrimoniale à Arles



Lors de son passage, samedi 11 juillet, aux Rencontres photographiques d'Arles, Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication, a exprimé sa volonté de créer "un grand centre de la photographie patrimoniale à Arles", sans donner plus de détails. Pour leur part, les organisateurs de la manifestation ont annoncé que la semaine professionnelle de la 40e édition des Rencontres s'est terminée, dimanche 12 juillet, sur une fréquentation en hausse de 20 % : 12 000 personnes, dont 5 000 professionnels, ont participé aux Rencontres. Deux mille cinq cents spectateurs ont assisté à la soirée de clôture le 11 juillet, avec la projection de The Ballad of Sexual Dependency, de Nan Goldin, et un concert des Tiger Lillies. Le prix Découverte a récompensé le Lituanien Rimaldas Viksraitis. Le Prix du livre d'auteur a été attribué à Anders Petersen et J. H. Engström pour From Back home (ed. Bokforlaget Max Strum) et celui du livre historique à Susan Meiselas pour In History (ed. Steidl Verlag). Les expositions se poursuivent jusqu'au 13 septembre. En 2010, Jean-Noël Jeanneney remplacera François Barré comme président du festival.

Claire Guillot

LE MONDE | 13.07.09 | 16h53 • Mis à jour le 13.07.09 | 16h53
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MessageSujet: Re: ARLES : 40 ans d'histoires photographiques   ARLES  : 40 ans d'histoires photographiques EmptyMer 31 Mar - 1:17

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Vers un pôle national photographique à Arles


PARIS [26.03.2010] - Le patrimoine photographique national sera décentralisé à Arles. Frédéric Mitterrand l'a annoncé à l'occasion de la conférence de presse des prochaines Rencontres photographiques .


ARLES  : 40 ans d'histoires photographiques Carac_10


C'est devant une salle comble, réunie Rue de Valois pour assister à la présentation de la 41e édition des rencontres d'Arles photographie, qui se tiendront du 3 juillet au 19 septembre, que Frédéric Mitterrand a confirmé la mise en œuvre d'un projet national en faveur du patrimoine photographique. Un sujet déjà évoqué de manière très lacunaire par le ministre lors de la précédente édition de la manifestation, le 11 juillet 2009. Il s'agissait alors de calmer les inquiétudes quant aux conditions de conservation et de diffusion des œuvres depuis la dissolution de l'association du Patrimoine photographique, en 2004.

Frédéric Mitterrand l'a donc annoncé clairement : un pôle patrimonial sera créé dans la cité des Bouches-du-Rhône, dans le cadre d'une politique de « décentralisation intelligente », visant à « résister aux tendances déstabilisantes de la mondialisation, en ancrant [...] nos archives dans ce territoire qui lui est en quelque sorte dédié ». Une mission pour la photographie, confiée à deux hauts fonctionnaires, Daniel Baroy et Manuel Bramberger, sera donc mise sur pied afin de favoriser le repérage, la réunion et la conservation des fonds mais aussi de faciliter les dépôts et legs par la création d'une commission ad hoc.

Une politique de diffusion numérique pourra également être mise en œuvre grâce au financement du Grand Emprunt. Enfin, la photographie devra être soutenue par des commandes publiques et une programmation d'expositions spécifique. Cette mission, directement rattachée au ministre, devra tenir compte des préconisations du rapport de François Barré, conseiller pour le transfert du patrimoine photographique de l'État auprès des collectivités locales. Ce centre du patrimoine s'inscrira en effet dans un projet plus vaste de Cité de l'image, porté notamment par le mécénat de la Fondation Luma. Des précisions devraient être encore apportées par le ministre lors des prochaines rencontres, dont le copieux programme a été égrené par François Hebel, leur directeur, en présence du nouveau président des rencontres, Jean-Noël Jeanneney et du maire de la commune, Hervé Schiavetti.


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MessageSujet: Re: ARLES : 40 ans d'histoires photographiques   ARLES  : 40 ans d'histoires photographiques EmptySam 1 Mai - 15:20

Clergue dans l’Arène : Exposition du 30 mars au 2 mai 2010

ARLES  : 40 ans d'histoires photographiques Image-10

50 ans de Tauromachie
Lucien Clergue est né à Arles, à quelques pas des arènes en 1934. Toute son enfance est bercée par la présence du taureau, ce Dieu sacré, magnifique et effrayant. Sa nourrice est mère de « torero» et il devient ” valet d’épée “, faute d’être torero, à cause de sa myopie. Un torero qui porte des lunettes, ça n’existe pas.Outre son oeuvre de photographe, on pourra découvrir un fonds tauromachique important composé de gravures de Goya, Gustave Doré et Picasso, documents rares, affiches d’exception, illustrations insolites, livres d’éditions limitées qui ont nourri sa passion pour le taureau. Né le 14 août 1934 à Arles, Lucien Clergue est à l’origine des Rencontres de la photographie.
Il est aussi devenu le premier photographe à entrer à l’Académie des Beaux-Arts.

Plus d’une centaine d’oeuvres sont réunies par Anne Clergue, commissaire de l’exposition.
Réalisation Association Lucien Clergue en Pays d’Arles en co-production avec la Ville d’Arles, en partenariat avec HP et les Clubs Taurins Paul Ricard.

Expo: Clergue dans l'arène (Arles) - kewego
Plus sur http://wizdeo.com/s/telemiroir - 50 ans de Tauromachie exposés par Lucien Clergue à Arles.
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MessageSujet: Re: ARLES : 40 ans d'histoires photographiques   ARLES  : 40 ans d'histoires photographiques EmptyLun 5 Juil - 20:42

Du 3 juillet au 19 septembre 2010, les Rencontres d'Arles voyagent à travers le monde et le temps.


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l Piccolo Vapore, de l'Argentin Marcos Lopez.

"Du lourd et du piquant", annonce François Hébel, le directeur des Rencontres d'Arles. Aïe ! Du lourd et du beau avec le coup de maître de cette année : 70 portraits de Mick Jagger, capturé par des photographes géniaux, Annie Leibovitz, Anton Corbijn, Jean-Marie Périer... Hébel s'est imposé une seule règle : ni photo de scène ni photos volées. La musique étant l'une des cordes sensibles de cette édition, elle se trouve bien orchestrée avec "I Am a Cliché", qui rend hommage à l'esthétique punk, de la Factory de Warhol aux Sex Pistols. Emma Lavigne, conservatrice pour l'art contemporain au Centre Pompidou, a rassemblé des petites merveilles, signées Stephen Shore, Peter Hujar, Dennis Morris... et c'est tout un monde déglingué, affolant qui refait signe.

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Spectacle de Leon Ferrari, 2003- Ferrari est une institution en Argentine, Lion d'or à la 52e Biennale de Venise en 2007. Ce maestro de 90 ans possède toutes les techniques : photographie, héliographie, sculptures de métaux, vidéos, collages...

Du piquant, avec la nouvelle star de la photographie argentine : Marcos Lopez. Ultrabaroque, saignant, ironique à mort, il présente sa nouvelle série, "Encre rouge". Rouge comme le sang ou la sauce tomate. Archipiquant : Paolo Woods, qui a voulu "dé-clichiser" l'Iran. Ses photos vont au-delà des apparences avec un raffinement digne des paradis persans.

Rencontres d'Arles du 3 juillet au 19 septembre. Renseignements sur le site internet des rencontres.

http://www.lepoint.fr/culture/arles-au-pays-des-cliches-01-07-2010-1210392_3.php
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